Cinecongo
Cinéma : Le film « Malik » sort aujourd’hui en salle à Kinshasa.

Cinecongo invite les Kinois et les amateurs de cinéma à découvrir le film « MALIK » qui arrive en salle aujourd’hui. Plongez dans un univers captivant où la science-fiction rencontre la richesse culturelle congolaise.

« MALIK » est une véritable révolution cinématographique qui repousse les limites de l’imagination. L’histoire se déroule dans le royaume d’Ankoro, où deux sœurs se retrouvent ennemies dans leur quête pour le trône. La tension est à son comble et chacun veut digérer et avoir le dessus sur l’autre. Mais sera-t-il possible de réconcilier ces sœurs autrefois proches ? C’est ce que nous découvrirons dans ce film qui promet des rebondissements à couper le souffle.

Le casting de « MALIK » est tout simplement exceptionnel. Blanchard Mbaya, Sacha Tshibangu, Henock Kiyombo, Patrick Tshikangu et bien d’autres talents congolais se sont réunis pour donner vie à ce projet ambitieux. Le réalisateur Justin Nyembo a su créer une expérience cinématographique unique qui ne laissera personne indifférent.

Avec des décors somptueux et des effets spéciaux époustouflants, « MALIK » nous transporte dans un futur où la technologie et la tradition se mêlent harmonieusement. Les spectateurs seront émerveillés par la fusion de ces deux mondes si différents.

Extrait du film « Malik » de Justin Nyembo

Ne manquez pas cette occasion de soutenir le réalisateur Justin Nyembo et de savourer « MALIK » au Showbuzz. Ce film promet de vous tenir en haleine du début à la fin et de vous offrir une expérience cinématographique mémorable.

Venez nombreux pour vivre cette aventure extraordinaire. « MALIK » est un film qui restera gravé dans les mémoires et qui marquera un tournant dans l’industrie cinématographique congolaise. Achetez vos billets dès maintenant et préparez-vous à être transporté dans un univers où l’action, le suspense et la réflexion se rencontrent. Rendez-vous au Ciné-Buzz pour plonger dans l’univers captivant de « MALIK ». Vous ne serez pas déçus ! »

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Décors paradisiaques de la RDC et sa scène cinématographique

Avez-vous déjà rêvé de tourner dans un décor à couper le souffle, où la nature se dévoile dans toute sa splendeur ? Ne cherchez plus, la République démocratique du Congo (RDC) vous ouvre ses portes et vous offre des paysages uniques qui ne manqueront pas de vous inspirer.

Chers cinéastes du monde entier,

Située au cœur de l’Afrique, la RDC regorge de trésors naturels peu exploités au cinéma. De vastes jungles luxuriantes aux majestueuses chutes d’eau, en passant par des montagnes imposantes et des lacs étincelants, chaque recoin du paysage congolais offre une toile de fond idéale pour vos prochaines réalisations cinématographiques.

Mais la RDC ne se limite pas à ses décors paradisiaques. Le pays possède également une scène cinématographique en plein essor, avec une multitude de films traitant de sujets liés à la RDC qui sortent régulièrement en salle. Des réalisateurs talentueux tels que Djo Munga avec « Viva Riva », Kim Nguyen avec « Le Rebelle » ou encore Baloji avec « Augure » ont su capturer l’essence de ce pays complexe et en faire des œuvres qui ont été reconnues à l’échelle internationale.

De plus, la RDC dispose d’une main-d’œuvre locale qualifiée et de techniciens expérimentés prêts à collaborer avec vous pour concrétiser vos projets cinématographiques. Des sociétés telles que « Un Cinéma pour le Congo » et son partenaire « Mameco Production », dirigées par la gracieuse et talentueuse Megan Dembo, sont là pour vous accueillir et vous guider dans la réalisation de vos films.

Alors, cinéastes du monde entier, il est temps de saisir cette opportunité unique. La RDC vous offre un environnement naturel exceptionnel et une scène cinématographique en plein essor. Venez explorer les merveilles de ce pays et laissez-vous inspirer par sa diversité culturelle et son patrimoine naturel.

Nous vous attendons avec impatience pour créer ensemble des films qui révéleront toute la richesse et la beauté de la République démocratique du Congo. N’attendez plus, venez découvrir les décors paradisiaques de la RDC et rejoignez notre communauté cinématographique dynamique et passionnée.

Au plaisir de vous accueillir bientôt en RDC !

Cordialement, L’équipe du cinéma congolais

Crédit photo Emmanuel Nzuzi

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Culture : « Fally Ipupa » et « cinéma congolais » en vogue sur le net.

Fally Ipupa, célèbre artiste musicien congolais, est connu pour ses talents dans l’industrie musicale. Cependant, récemment, les internautes ont montré un grand intérêt pour une éventuelle association entre Fally Ipupa et le cinéma congolais.

Malgré sa participation dans la série « River Hôtel » de Didier Ndenga et dans la websérie « Blacky » d’Aziza Eboma, les fans semblent désireux de voir Fally Ipupa s’impliquer davantage dans le monde du cinéma.

Depuis l’annonce de son désir de se lancer également dans le cinéma lors d’une interview, les moteurs de recherche, en particulier Google, ont vu une augmentation significative des recherches associant les mots clés « Fally Ipupa » et « cinéma congolais« . Les fans et les curieux espèrent découvrir les nouveaux horizons artistiques que Fally Ipupa pourrait explorer dans le domaine cinématographique.

Le cinéma congolais connaît une évolution prometteuse ces dernières années, avec des réalisateurs et des acteurs talentueux qui émergent et qui cherchent à mettre en avant la richesse culturelle du pays. L’arrivée de Fally Ipupa dans ce domaine pourrait apporter une nouvelle dimension à l’industrie cinématographique congolaise et susciter l’intérêt d’un public plus large.

Il est encore trop tôt pour dire quelles seront les prochaines étapes de Fally Ipupa dans le cinéma congolais. Cependant, l’engouement des internautes pour cette association entre l’artiste et le cinéma montre à quel point Fally Ipupa a réussi à captiver son public et à susciter l’intérêt pour ses projets futurs.

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Cinéma : Un outil de résistance culturelle face à l’invasion.

L’importance du cinéma dans la préservation des us et des traditions de la République démocratique du Congo (RDC) face à l’invasion de l’imaginaire d’autres pays à travers la télévision et l’internet ne peut être sous-estimée. Le cinéma offre une plateforme puissante pour raconter des histoires, capturer la culture et transmettre des valeurs.

Tout d’abord, le cinéma permet de documenter et de préserver l’histoire de la RDC. En racontant des récits authentiques et en immortalisant les traditions, le cinéma permet aux générations futures de comprendre et d’apprécier l’héritage culturel de leur pays. Les films peuvent servir de témoignages précieux, préservant ainsi les us et les traditions qui risquent d’être oubliés avec le temps.

De plus, le cinéma peut être utilisé comme un outil éducatif pour transmettre des connaissances sur les us et les traditions de la RDC. En créant des films qui mettent en valeur les pratiques culturelles, les coutumes et les valeurs, le cinéma peut aider à renforcer l’identité culturelle et à sensibiliser les jeunes générations à l’importance de leur patrimoine.

En outre, le cinéma offre une opportunité de créer une industrie cinématographique locale dynamique en RDC. En soutenant la production de films locaux, on encourage la créativité et le talent des cinéastes congolais. Cela permet également de générer des emplois et de stimuler l’économie locale. En ayant accès à des films qui racontent des histoires propres à leur pays, les Congolais peuvent se sentir fiers de leur culture et de leur héritage.

Enfin, le cinéma peut agir comme un moyen de résistance culturelle face à l’influence de l’imaginaire d’autres pays. En créant des films qui mettent en avant les us et les traditions de la RDC, on peut contrer l’invasion de l’imaginaire étranger et promouvoir la diversité culturelle.

L’État congolais au travers de ses différentes structures et surtout les cinéastes congolais et homme d’affaires, il y a ici une opportunité à investir dans ce secteur qui, bien qu’étant encore au stade embryonnaire, promet de se développer à une vitesse exponentielle au regard des enjeux de l’heure et de la population congolaise en constante augmentation.

Vous pouvez aussi écouter l’article en audio.

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Le président du jury de la 5e cérémonie des Mongita Awards

Georges Nzuzi Salambiaku : un professionnel des médias et des arts

Georges Nzuzi Salambiaku est un professionnel des médias et des arts. Il est né le 09 février 1967 à Kinshasa, marié à Madame Antele Bhin Nada et est père de famille. Il est journaliste, cinéaste, critique de cinéma et entrepreneur culturel.

Un parcours professionnel riche et diversifié

Georges Nzuzi Salambiaku a travaillé comme journaliste-reporter au Journal l’observateur avec son supplément sélection infos et correspondant de Presse des quelques rédactions depuis 1997. En 2024, il a créé son propre canard « journal la Vapeur ». Il a été Rédacteur en Chef ou Rédacteur en Chef Adjoint de certains tabloïdes culturels.

Un membre actif de la communauté culturelle

Georges Nzuzi Salambiaku a également été membre de jury en 2021 aux Journées Cinématographiques de Carthage, JCC, et président depuis 2018 du jury des Mongita Awards. Il est président depuis 2006 de l’Association Congolaise des Critiques Cinématographiques, ACCC. Il est par ailleurs administrateur du Festival International de Danse « Me. Ya. Be » et de la direction Ciné-Médiathèque de Rtnc2-Développement.

Une carrière artistique et culturelle de plus de quatre décennies

Georges Nzuzi Salambiaku a réalisé des œuvres de haute facture tout au long de sa carrière artistique et culturelle de plus de quatre décennies. Son travail dans les médias et les arts a été reconnu et apprécié par ses pairs et le public.

En somme, Georges Nzuzi Salambiaku est un homme aux multiples talents qui a su se faire un nom dans le monde des médias et des arts en République Démocratique du Congo. Sa contribution à la culture congolaise est inestimable et son parcours professionnel riche et diversifié est une source d’inspiration pour de nombreux jeunes Congolais.

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9 nominations pour Confinement dilemme
Jephté Ibuka narre un drame dans son « Confinement dilemme »

Un drame intense et déchirant : « Lewis » et « Angel » pris au piège de leur liaison secrète

Dans l’univers tumultueux des relations interdites, parfois la passion et la douleur s’entremêlent pour créer un drame intense et déchirant. C’est le cas de « Lewis », interprété par le talentueux Patrick Tshikangu, et « Angel », jouée par la talentueuse Eternella Diasivi Maza. Leur histoire, marquée par la trahison, le secret et la culpabilité, ne cesse de prendre des proportions tragiques.

« Lewis », un homme marié à « Mireille », se retrouve pris au piège d’une liaison clandestine avec « Angel », une jeune paysanne de seulement 15 ans. Leur relation, initialement empreinte de passion et d’insouciance, bascule brutalement lorsque « Angel » découvre qu’elle est enceinte.

Extrait du film « Confinement dilemme » de Jephté Ibuka

Déchirée par la culpabilité, « Angel » se voit contrainte de faire face à la réalité et décide de confronter la femme de « Lewis », « Mireille », pour lui révéler toute la vérité. Mais les circonstances ne jouent pas en sa faveur. Les barrières physiques imposées par le confinement viennent s’ajouter aux barrières émotionnelles, rendant leur rencontre impossible.

« Lewis » et « Angel » se retrouvent ainsi dans un véritable labyrinthe émotionnel, où chaque choix et chaque décision les entraînent un peu plus dans une spirale de douleur. Les conséquences de leurs actes les rattrapent, les piégeant dans un tourbillon de trahison et de secrets inavouables.

Le talent de Patrick Tshikangu, dans le rôle de « Lewis », et d’Eternella Diasivi Maza, dans celui d' »Angel », donne vie à ces personnages complexes et tourmentés. Leur jeu d’acteur saisissant permet de plonger au cœur de cette histoire bouleversante, où les émotions se mêlent et se déchirent.

Ce drame intense explore les limites de l’amour, de la loyauté et de la trahison. Comment trouver la rédemption lorsque l’on est prisonnier de son propre mensonge ? Comment se reconstruire lorsque les barrières émotionnelles et physiques semblent insurmontables ?

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Ma meilleure amie 2 Extrait
Ma meilleure amie 2 de JD Matezo explore un thème inédit

Dans « Ma Meilleure Amie », le court métrage poignant réalisé par Jd Matezo, l’actrice principale Evelyne Wanga offre une performance remarquable.

Ce film plonge les spectateurs au cœur d’un amour complexe qui remet en question les valeurs et les croyances de la société, avec une touche d’émotion sincère.

L’histoire tourne autour de deux jeunes filles qui luttent pour être ensemble malgré les obstacles qui se dressent sur leur chemin. Elles sont confrontées à des normes sociales strictes, à des préjugés et à des jugements de la part de leur entourage. Mais leur amour, porté par la force de leur conviction, les pousse à affronter tous les défis pour rester unies.

Extrait du film Ma meilleure amie 2

« Ma Meilleure Amie » est un voyage captivant qui met en lumière les défis auxquels sont confrontées les jeunes filles qui osent remettre en question les conventions sociales. Le film aborde des thèmes profonds tels que l’acceptation de soi, la tolérance et le courage de suivre son propre chemin, même s’il est considéré comme différent.

La performance d’Evelyne Wanga, dans le rôle central, est extraordinaire. Elle incarne avec une grande sensibilité et une sincérité touchante le personnage complexe et déterminé. Sa présence à l’écran captive le spectateur et transmet toute l’émotion et la vérité de l’histoire.

Par cette réalisation habile de Jd Matezo, « Ma Meilleure Amie » parvient à obtenir 6 nominations aux Mongita Awards grâce à cette réalité jugées inconventionnelles en Afrique racontée de manière subtile et puissante.

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Nomination Abus de Joyce Kevin Peniel
3 nominations pour le film Abus aux Mongita Awards

Dans un monde dans lequel la survie est un combat quotidien, le réalisateur Joyce Kevin Peniel nous plonge dans une histoire bouleversante avec son dernier film.

Mettant en vedette Chris Tula dans le rôle principal de Godlive, ce récit captivant explore les sacrifices et les épreuves auxquels une jeune femme de 18 ans est prête à faire face pour sauver la vie de son frère.

Dans ce film dramatique, intitulé « ABUS », Chris Tula incarne avec une intensité émouvante le personnage de Godlive. Après la mort tragique de leurs parents, Godlive se retrouve confrontée à une situation désespérée : son frère souffre depuis deux ans et sa vie est en jeu. Sans ressources financières suffisantes pour lui procurer les médicaments nécessaires, Godlive se voit contrainte de se prostituer, plongeant ainsi dans les profondeurs sombres d’un monde dangereux et dégradant.

Sous la direction experte de Joyce Kevin Peniel, le film explore les limites de la morale et de la dignité. Chaque scène est imprégnée d’une tension palpable, révélant la lutte intérieure de Godlive entre l’espoir et le désespoir. Le réalisateur parvient à capturer avec une grande sensibilité les émotions complexes et les dilemmes moraux auxquels Godlive est confrontée, offrant ainsi une performance remarquable de la part de Chris Tula.

Extrait du film Abus de Joyce Kevin Peniel

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Marlène Longange
Nécrologie : Le cinéma congolais pleure Marlène Longange

Dans un communiqué parut ce matin, l’Association Congolaise des Critiques Cinématographique annonce le décès de la comédienne Marlène Longange, comédien connue pour son rôle dans le film Viva Riva

La nouvelle est tombée depuis ce matin, Marlène Longange n’est plus. Internée à l’hôpital Nganda, où elle suivait un traitement contre le Cancer de sein, cette actrice du théâtre et du cinéma a tiré sa révérence, ce jeudi 10 août 2023, en cours à deux heures du matin. En attendant le programme des obsèques, son corps est gardé à la morgue.

L’Association Congolaise des Critiques Cinématographiques, ACCC, et les cinéphiles de la République Démocratique du Congo, saluent la mémoire de l’illustre disparu.

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Nestor Kongolo rafle 7 nominations aux Mongita Awards

Nestor Kongolo, un jeune réalisateur évoluant dans la ville de Lubumbashi, nous offre une maîtrise de l’écriture cinématographique à travers son film « CAROLINE », qui obtient sept nominations.

Voici le résumé du film Caroline

Un groupe d’ami composé de deux hommes et trois femmes se retrouve au cœur d’une histoire d’amour entre Richard, un jeune homme fortuné, et Caroline. Leur relation commence à se compliquer lorsqu’une troisième personne, prénommée Rachel et amie de Caroline, décide de s’immiscer. Curieusement, Rachel est mariée à Freddy, le meilleur ami de Richard. Cependant, Rachel ne se sent pas assez épanouie dans son mariage et elle décide de se faire passer pour Fatuma, une autre amie proche de Caroline, afin de séduire Richard.

Les choses prennent une tournure dramatique le jour où Rachel surprend Richard et « Fatuma » ensemble chez lui. Prise de colère, Rachel tente de poignarder « Fatuma », mais Richard s’interpose et reçoit accidentellement le coup de couteau.

Ce synopsis met en lumière les complexités des relations amoureuses au sein d’un groupe d’amis proches. Il explore les trahisons, les mensonges et les conséquences tragiques qui découlent des choix imprudents. L’histoire nous plonge au cœur des émotions intenses et des dilemmes moraux auxquels les personnages sont confrontés, remettant en question la loyauté, l’amitié et la véritable nature de l’amour.

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Loridon Kabasele à la 5ᵉ Mongita Awards avec FAKWA

Le cinéma n’a plus de secret pour Loridon Kabasele, un chevronné et amoureux du 7ᵉ art. Il présente avec fierté son court-métrage « FAKWA » à de la 5ᵉ cérémonie des Mongita Awards. Son talent et son travail sont récompensés par cinq nominations dans différentes catégories : Meilleur réalisateur, Meilleur Directeur photo, Meilleur son, Meilleur monteur et Meilleur Acteur avec David Ngangi.

Voici le résumé du film :

Un aveugle mendiant sans abri se trouve dans la rue lorsque, par bonheur, un inconnu lui tend un billet de 20$. Le mendiant, confiant et rempli d’espoir, remercie chaleureusement l’étranger pour cet acte de générosité. Cependant, son bonheur est de courte durée, car un autre individu sans scrupules s’approche et profite de sa vulnérabilité. Ignorant la situation, l’aveugle se fait arnaquer lorsque l’individu sans scrupules échange le billet de 20$ contre des papiers sans valeur.

Ce récit touchant met en lumière la force de la résilience humaine et la capacité de surmonter les obstacles les plus difficiles. Il nous rappelle l’importance de la compassion et de l’empathie envers les plus démunis, ainsi que la valeur de chaque individu, indépendamment de sa situation ou de ses handicaps.

Extrait du film Fakwa !

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Extrait du film BUTU de Kevin Mayamba

Le film Butu de Kevin Fox Mayamba est aujourd’hui en sélection officielle aux Mongita Awards.

Le film compte huit nominations et le réalisateur a pu aligner dans son équipe technique, des pointures dans la sphère du cinéma congolais.

Résumé du film :

MAYAMBA, un jeune homme, est élevé par son oncle paternel après la perte de ses parents. Vingt-cinq ans plus tard, MAYAMBA réussit à obtenir son diplôme d’État avec brio. Cependant, ses rêves d’études supérieures sont anéantis en raison de contraintes financières. Pour réaliser son désir de poursuivre ses études, MAYAMBA est contraint d’emprunter de l’argent à ses amis étudiants et de s’installer dans une résidence universitaire.

Une fois à l’université, MAYAMBA découvre un monde nouveau, un monde dans lequel il décide de s’intégrer. Il apprend qu’un groupe de criminels, connus sous le nom de « Kuluna », sévit dans les rues pendant la nuit. Endetté auprès de ses amis et sous la pression constante de ces criminels, MAYAMBA finit par se joindre à eux, espérant que cela résoudra ses problèmes financiers.

Cependant, en rejoignant cette dangereuse organisation, la vie de MAYAMBA bascule dans un tourbillon de violence et d’intrigue. Il se retrouve impliqué dans des activités criminelles qu’il n’aurait jamais imaginées auparavant. La frontière entre le bien et le mal devient floue pour MAYAMBA, qui se demande s’il a pris la bonne décision.

Dans ce thriller sombre et captivant, MAYAMBA lutte pour trouver sa place dans ce monde brutal et découvre sa vraie nature, alors qu’il est entraîné de plus en plus profondément dans les machinations des Kuluna. Sa survie sera mise à rude épreuve dans cette histoire pleine de rebondissements et de suspense.

Extrait du film Butu de Kevin Mayamba

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Mongita Awards : Les nominés par catégorie

Voici la liste des nominés par catégorie comptant pour la 5ᵉ cérémonie des Mongita Awards et nous tenons à féliciter les différents lauréats. Il sied de noter que cette 5ᵉ cérémonie va se dérouler le 09 septembre 2023 à 18 h 30 dans la salle Agora de l’université de Belcampus sise N°17, 8ᵉ rue Limete Industriel

ACTEURS

DIAMANTE BEYA                                                           : BUTU

BENJAMIN SHAKO                                                         : CAROLINE

PATRICK KABUNDI                                                        : CONFINEMENT DILEMME

DAVID NGIANGI                                                             : FAKWA

ACTRICE

AGATHE LINCIA                                                             : CAROLINE

ETERNELLA DIASIVI MAZA                                           : CONFINEMENT DILEMME

EVELYNE WANGA                                                          : MA MEILLEURE AMIE 2

RÉALISATEUR

KEVIN MAYAMBA                                                          : BUTU

NESTOR KONGOLO                                                       : CAROLINE

JEPHTE IBUKA MAKAMBO                                           : CONFINEMENT DILEMME

LORIDON KABASELE                                                     : FAKWA

JD MATEZO                                                                    : MA MEILLEURE AMIE 2

SCÉNARISTE

KIESE PENIEL KEVIN                                                      : ABUS

KEVIN MAYAMBA                                                          : BUTU

NESTOR KONGOLO                                                       : CAROLINE

JEPHTE IBUKA MAKAMBO                                            : CONFINEMENT DILEMME

JD MATEZO                                                                   : MA MEILLEURE AMIE 2

DÉCOR

CHARLY MPOYI                                                              : BUTU

JASON KAMANA TOMBOKA                                       : CONFINEMENT DILEMME

DAVID MPIANA                                                              : MA MEILLEURE AMIE 2

DIRECTEUR PHOTO

KIESE PENIEL KEVIN                                                      : ABUS

JIMMY TISSANABO                                                       : BUTU

JEPHTE IBUKA MAKAMBO                                            : CONFINEMENT DILEMME

LORIDON KABASELE                                                      : FAKWA

JD MATEZO                                                                     : MA MEILLEURE AMIE 2

OPERATEUR DE SON

DANIEL NKEMBO                                                           : ABUS

CEDRIC MBONGO                                                          : BUTU

PASCAL MUSONGE                                                       : CAROLINE

BENI MUKANDA GABI                                                  : CONFINEMENT DILEMME

LORIDON KABASELE                                                     : FAKWA

MONTAGE

JULIO LOLO BIBAS                                                         : BUTU

NESTOR KONGOLO                                                       : CAROLINE

JEPHTE IBUKA MAKAMBO                                           : CONFINEMENT DILEMME

LORIDON KABASELE                                                     : FAKWA

JONATHAN KAZAK                                                       : MA MEILLEURE AMIE 2

COSTUME

NON CLASSE

MAQUILLAGE

SYNTICHE IKUMA                                                          : BUTU

JOYCE NYEMBO                                                             : CAROLINE

MERVEILLE DALE                                                           : CONFINEMENT DILEMME

FILM INTERNATIONAL

U’KUNYARIKIRI                                                              : MATOKO VIVIDILA ROCK

ADANMI                                                                        : JEAN-PHILIPPE ALLABY CINDERELLA                                                                  : MEL GUILLAS-BERNARD

Vous pouvez aussi voir la liste des nominés en vidéo ou lire le mémo en cliquant ici

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Liste des nominés de la 5e cérémonie des Mongita Awards

Les Mongita Awards sont une cérémonie annuelle qui récompense l’excellence dans l’industrie du cinéma. Ces prix mettent en avant les réalisateurs, acteurs, scénaristes et autres professionnels du cinéma qui se sont démarqués par leur talent et leur créativité.

Les Mongita Awards sont un événement prestigieux qui attire l’attention tant au niveau national qu’international. La cérémonie met en lumière les films les plus marquants de l’année et offre une vitrine aux talents du cinéma congolais et africain. Les Mongita Awards sont un symbole de reconnaissance et de célébration du cinéma dans toute sa diversité et son excellence.

L’unique cérémonie de cinéma congolais, aux habits des oscars du 7ᵉ art, est plus que décidé de se lancer dans une dynamique de voir des structures se mettre en place pour booster à un tout autre niveau l’industrie cinématographique qui peine encore à se relever.

Les échos sont bons. La route est certes périlleuse, mais la voie est toute tracée. Il faut juste la baliser dans le but de ne pas rater le décollage ou se tourner vers des faux débats faisant la prédication de l’individualisme plutôt que le travail d’équipe.

Les précurseurs

Les précurseurs sont multiples, à l’instar d’Albert Mongita, à qui la cérémonie a emprunté le nom. Il est plus que clair que les acteurs évoluant dans le secteur doivent mettre les bouchées doubles pour pérenniser cet héritage.

Mongita Awards est aujourd’hui dans sa 5ᵉ édition, et lentement, mais sûrement, on se rapproche du 09 septembre 2023, date à laquelle la cérémonie aura lieu au sein de l’emblématique université Belcampus.

Partenariat avec l’ACCC

Fidèle à elle-même, la cérémonie Mongita Awards poursuit sa collaboration traditionnelle avec l’Association Congolaise des Critiques Cinématographiques en qui elle fonde beaucoup d’espoir. C’est grâce à cette association qu’une ouverture internationale a été réalisée, et c’est avec l’association, qui compose le jury de la cérémonie, que Mongita Awards a continuellement reçu des éloges pour son impartialité et sa rigueur dans le choix des lauréats.

Réception des films et sélection des finalistes

Malheureusement, en 2023, durant toute la période de réception des films qui s’est déroulée du 30 mars au 30 juin 2023, peu de longs métrages ont été reçus. La cérémonie des Mongita Awards critique vivement le manque de qualité et de professionnalisme de certains cinéastes. Heureusement, il y en a quelques-uns qui se sont démarqués en posant un gros problème de choix aux jurys de présélection convoqués par Cinecongo, l’organisateur de la cérémonie.

Parmi la trentaine de films qui se sont distingués, seulement une dizaine, tant nationaux qu’internationaux, participeront à la compétition pour remporter les trophées dans les différentes catégories lors de la 5ᵉ cérémonie.

Le comité d’organisation ainsi que l’ensemble des partenaires se réjouissent déjà d’accueillir les invités, qui incluent des personnalités politiques, des opérateurs économiques et culturels, des religieux, la société civile, des étudiants, ainsi que des cinéastes et d’autres professionnels des médias et de l’audiovisuel. C’est en travaillant ensemble et sans tabous que l’image du Congo et de l’Afrique se transforme en une image de marque.

En image, la vidéo annonçant les nominés de cette 5e cérémonie des Mongita Awards.

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Cinécongo lance le café cinéma ce 26 juin 2023

Cinécongo lance un nouveau concept passionnant appelé « Café cinéma », qui est un mélange de cinéclub et d’événement de rencontre pour les cinéphiles. Cette initiative débutera dès lundi 26 juin 2023.

« Café cinéma » vise à rassembler des personnes qui partagent la même passion pour le cinéma et qui souhaitent discuter des sujets et des questions brûlants autour de l’industrie. À chaque événement, un sujet ou une question de l’heure sera présenté devant le public, ensuite une séance de partage sera organisée en vue de permettre aux participants d’exprimer leur point de vue et de partager leur expérience au regard de ce qui sera présenté.

Regarder des films est en discutés autours d’un rafraîchissement permettra aux uns d’apprendre à savourer une œuvre, et aux autres de s’enrichir du regard des autres. C’est-ce que je peux dire sur ce concept. Aussi, c’est un moyen de favoriser le réseautage.

Erick Kayembe

Ce nouveau concept est une initiative intéressante qui permettra aux cinéphiles de se connecter avec d’autres et de découvrir des nouvelles idées sur le cinéma d’une façon conviviale et agréable. Nous sommes impatients de voir comment ce concept se développera et de découvrir les sujets qui seront abordés lors des prochains rassemblements de « Café cinéma ».

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Cinéma Inter : Un duo, Tom et Scarlett, s’annonce

Dans un tweet récent, Tom Cruise a émis le souhait de jouer avec Scarlett Johansson : « Elle est incroyable. C’est une actrice formidable et une véritable star. Donc oui, ça va se produire », a-t-il déclaré. Apparemment, Tom Cruise a toujours suivi la carrière de Scarlett Johansson et admire son talent et son charisme.

Il est vrai que Scarlett Johansson est une actrice polyvalente, capable de jouer dans des films de différents genres. Elle a notamment été nommée plusieurs fois aux Oscars pour ses performances dans des films dramatiques tels que « Lost in Translation » et « Marriage Story« . Elle est également bien connue pour son rôle de Black Widow dans les films de super-héros Marvel. Avec sa capacité à jouer dans différents genres, il ne fait aucun doute que Scarlett Johansson pourrait faire un excellent travail aux côtés de Tom Cruise.

Cette déclaration de Tom Cruise est certainement une nouvelle intéressante pour les fans des deux acteurs. Les gens sont impatients de voir ce que leur collaboration pourrait apporter et sont convaincus que cela donnera lieu à un grand film.

Il reste à voir si ce projet se concrétisera réellement. En revanche, pour l’instant, les fans peuvent imaginer ce que pourrait être un film avec Tom Cruise et Scarlett Johansson en tête d’affiche. Avec l’expérience et le talent de ces deux grands acteurs, il ne fait aucun doute que ce serait un succès remarquable qui ravirait le public.

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RDC : Tourisme cinématographique sous-exploité

La République démocratique du Congo (RDC) a un potentiel touristique considérable, mais celui-ci est largement inexploité en raison de divers facteurs tels que l’instabilité politique, les infrastructures médiocres et les problèmes de sécurité. Toutefois, le pays offre de nombreux atouts en termes de beauté naturelle et de richesse culturelle, qui pourraient être mis à profit pour attirer les touristes nationaux et internationaux.

Un aspect qui pourrait être mis en avant est le potentiel du tourisme cinématographique en RDC. Le pays possède un paysage diversifié composé de forêts tropicales, de savanes, de montagnes et de rivières, qui peuvent offrir des décors uniques pour une large gamme de genres cinématographiques.

Certains des sites de tournage les plus célèbres en RDC comprennent le parc national des Virunga, qui a été le lieu de tournage de films tels que « Virunga » sur Netflix et le nominé aux Oscars, « Gorilles dans la brume » ; la région de Stanleyville, qui a été présentée dans « Le dernier roi d’Écosse » et la région de Lubumbashi, où ont été tournées « Katanga Business ».

En plus du paysage naturel, la RDC possède également un riche patrimoine culturel qui peut être utilisé pour attirer les touristes. Le pays compte plus de 450 groupes ethniques, chacun avec ses propres traditions uniques, sa nourriture et sa musique. Il existe par ailleurs plusieurs festivals culturels célébrés dans tout le pays.

Cependant, pour que le potentiel du tourisme cinématographique soit pleinement exploité, il faut des investissements importants dans les infrastructures et la sécurité. Les routes sont souvent en mauvais état, ce qui rend les déplacements difficiles et dangereux. De plus, il y a des préoccupations quant à la criminalité et l’instabilité politique dans certaines parties du pays, ce qui peut dissuader les touristes.

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Fally Ipupa se lance dans le cinéma

C’est lors d’une conférence de presse tenue à Brazzaville, l’artiste musicien Fally Ipupa annonce son souhait d’élargir son champ d’expression artistique, cette fois-ci dans un film le mettant à l’honneur, soit un film autobiographique.

Il faut croire que ses apparitions dans les séries : Blacky et River hotel ont donné à la star congolaise de la musique le goût de virer au cinéma. Après ses différentes réalisations et récompenses dans la musique écoutée tant dans la sphère nationale qu’international, l’artiste musicien aimé par ses fans veut conquérir les cœurs de nombreux cinéphiles.

Est-ce un nouveau défis à relever ? Cette fois, Fally Ipupa souhaite offrir à ses fans une autre facette de son talents en explorant des nouvelles formes d’expressions artistiques.

L’aigle de la musique congolaise a exprimé son attachement au cinéma lors du making off de l’enregistrement de l’épisode 6 de la série blacky.

« Je suis un cinéphile, j’aime beaucoup le cinéma et je passe mes journées devant Netflix. Je suis un artiste musicien, mais le cinéma me plaît énormément. On a une autre manière de raconter les histoires. »

Fally Ipupa dans cette séquence vidéo vu sur Youtube

Rappelons qu’à 45 ans d’âge, Fally Ipupa a 17 ans de carrière musicales, 7 albums solo, des nombreux trophées et prix, plusieurs concerts à travers le monde, et des précieuses certifications  » disque d’or et de platine ». Les fans sont enthousiasmés à l’idée de le suivre sur le grand écran.

Tryphose Ndunga

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S.E Kathungu témoigne son soutien au film Augure

Son Excellence Kathungu Furaha, la ministre de la Culture, des Arts et des Patrimoines, a récemment manifesté son soutien pour le film AUGURE, un film congolais sélectionné au Festival de Cannes. La ministre a rencontré le coproducteur du film, Emmanuel Lupia, pour discuter de l’importance de la production cinématographique congolaise et des perspectives de partenariat international pour développer le secteur.

La participation du film AUGURE au Festival de Cannes a été une reconnaissance importante pour la cinématographie congolaise, qui est souvent négligée dans les festivals de cinéma internationaux. Cependant, la ministre Furaha est consciente de l’importance de ne pas en rester là et de poursuivre le développement du secteur cinématographique congolais.

Dans ce contexte, la ministre mise fortement sur les partenariats internationaux pour favoriser la production de films congolais de qualité et pour garantir leur diffusion à travers le monde. En effet, le cinéma est un vecteur essentiel de promotion de la culture et de l’identité congolaises à l’étranger.

La rencontre entre la ministre de la Culture, Arts et Patrimoines et le coproducteur du film AUGURE, Emmanuel Lupia, est donc un signe positif de l’engagement du gouvernement congolais en faveur du secteur cinématographique. Kathungu Furaha souhaite encourager la production locale de films et privilégier la créativité des acteurs du secteur.

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Moyindo et Prisca immortalisés au FFGP du Togo

Le Festival de Film Grand Public du Togo, FFGP en sigle, dont l’appel à films se déroule du 20 avril au 20 juillet 2023, a rendu hommage à deux acteurs de la République Démocratique du Congo, à savoir Moyindo Mpongo et Prisca Enzilame. En effet, le festival a créé les prix Moyindo Mpongo et Prisca Enzilame, deux légendes du cinéma congolais, pour honorer leur contribution exceptionnelle à l’industrie cinématographique africaine.

Le prix Moyindo Mpongo sera décerné au meilleur acteur pour son rôle dans le film, après un vote du public qui comptera pour 70 % et l’avis d’un jury de professionnels qui comptera pour 30 %. L’acteur a également été honoré pour ses nombreux engagements sociaux et communautaires et s’est dit heureux de cette reconnaissance qui portera son nom.

Quant à Prisca Enzilame, l’une des plus grandes actrices congolaises, elle a été honorée pour être celle dont le nom évoquera la meilleure actrice d’Afrique. Son talent et son interprétation exceptionnelle dans de nombreux films, dont « Paris à tout prix », ont été salués par le festival.

Pour rappel, les kinois pourront savourer sur grand écran le film « Paris à tout prix » ce 28 mai 2023. La décision de nommer ces deux prix en l’honneur de ces deux acteurs illustres est une preuve de la reconnaissance de leur apport exceptionnel au cinéma africain, et témoigne de l’importance de leur travail dans l’industrie cinématographique de la région. Les organisateurs du festival ont ainsi su démontrer leur volonté de mettre en avant la diversité du cinéma africain et de promouvoir les talents venus de toute l’Afrique.

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Rapport sur l’industrie du cinéma selon l’Unesco

L’UNESCO a publié un rapport sur l’industrie cinématographique en Afrique depuis le 5 octobre 2021 et ce rapport présente des tendances, des défis et des opportunités de croissance pour le cinéma africain.

Le rapport souligne l’importance de l’industrie du cinéma dans le développement culturel et économique de l’Afrique, ainsi que son potentiel pour promouvoir la diversité culturelle et renforcer l’identité africaine.

En ce qui concerne le cinéma congolais, le rapport met en évidence les défis auxquels le pays est confronté, notamment en termes de financement, de distribution et de promotion de films. Le rapport souligne également l’importance de la formation de jeunes professionnels dans l’industrie du cinéma pour renforcer la compétence et la qualité du cinéma congolais.

L’UNESCO reconnaît les grandes potentialités de l’industrie cinématographique congolaise. Elle préconise des politiques et des actions pour la promotion de la diffusion des œuvres cinématographiques. Elle attire particulièrement l’attention sur la nécessité de créer un cadre légal et réglementaire favorable au développement de l’industrie cinématographique, et propose une coopération régionale pour aider le Congo à surmonter ces problèmes.

En somme, le rapport de l’UNESCO sur l’industrie cinématographique africaine met en exergue l’importance de l’industrie cinématographique africaine pour le développement culturel et économique de l’Afrique, mais malheureusement, en 2 ans, il n’y a eu aucun effort du gouvernement en place, se basant sur ce rapport pour jeter les bases d’une industrie cinématographique congolaise.

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La RDC sera 10e Koudougou Doc

Nous sommes ravis de vous informer que la sélection officielle des courts et moyens métrages pour la 10ème édition de Koudougou Doc est maintenant connue !

Du 25 au 29 avril prochain, les cinéphiles et les passionnés de documentaires pourront découvrir les films les plus innovants et captivants du moment au quartier secteur 1 de Koudougou, à la cité universitaire Fasotex et à la cité Ouédraogo…

Pour la RDC, c’est le cinéaste Erickey Bahati avec le film documentaire « Elongo Elong » qui la représentera valablement. Il faut également noter que Bahati Erickey parmi les rares cinéastes à avoir reçu, en une seule édition, plus de 4 prix au prestigieux Festival International du Cinéma de Kinshasa.

Nous souhaitons bon vent au festival des films documentaires de Koudougou de Burkina Faso et aux cinéastes dont les films sont en sélection officielle.

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Festival court derrière : Appel à film

Contexte

Le Festival Court Derrière est un festival de courts métrages unique qui se déroule dans l’île de la Réunion (juste à côté de Maurice et Madagascar pour ceux qui ne connaissent toujours pas).

Notre idée est de connecter le continent africain à ses diasporas et à d’autres diasporas du monde entier, à travers le cinéma.

Troix prix seront décernés :
– Le Prix Eli décerné par le Jury professionnel
– Le Prix Makandal décerné par le Jury Etudiant
– Le Prix Heva décerné par le Public

RÈGLEMENT

ARTICLE 1. Dates et Lieux

La cinquième édition du Festival Court Derrière se déroulera à Saint-Denis de La Réunion du 27 septembre au 3 octobre 2023. Le festival est organisé par les associations Klaxon et Cinemawon qui œuvrent à la diffusion de films et à l’éducation à l’image.

ARTICLE 2. Conditions d’éligibilité

L’inscription est gratuite et concerne les films terminés après le 1er janvier 2022.

Le festival accepte les films de fiction, d’animation, les films expérimentaux et les documentaires réalisés par des cinéastes issus du continent africain mais aussi des diasporas africaines, les afro-descendants dans le monde, ainsi que les peuples autochtones des Amériques et du Pacifique. Ces films devront être sous-titrés en français s’ils ne sont pas en langue française pour la diffusion pendant le festival.

La durée du film ne doit pas excéder 30 minutes.

ARTICLE 3. Inscriptions des films

La date limite des inscriptions est fixée au 15 juin 2023.

Le formulaire devra être impérativement accompagné d’un lien de visionnage (Viméo, Youtube, Dropox, …) avec mot de passe, le cas échéant.
Le lien fourni doit rester valide jusqu’à la publication de la sélection officielle.
Le festival Court Derrière s’engage expressément à conserver la confidentialité des liens et mots de passe qui lui sont communiqués, et à les utiliser uniquement dans le cadre du processus de sélection.
Nous acceptons les versions de travail envoyées avant la fin de l’appel à films le 30 juin à condition de nous préciser l’étape à laquelle le film se trouve et de nous renseigner précisément sur le calendrier de finition du film. Dans ce cas précis, nous n’accepterons pas les films terminés après le 15 août 2023.

ARTICLE 4. Sélection

Chaque film reçu est regardé a minima par deux personnes. Les films short-listés sont vus et débattus par le comité de programmation.

Les ayants-droits seront informés des décisions du comité de sélection, par mail, en amont de l’annonce de la sélection officielle, fixée au 1er septembre 2023. Les modalités des projections seront détaillées au moment de ces notifications.

Il est à noter que dans le cadre de ses projections officielles (sur écran ou en ligne le cas échéant), le festival ne verse pas de droits de projection pour les films faisant partie de la compétition officielle.

ARTICLE 5. Supports et formats de projection

Les films sélectionnés devront être mis à la disposition du festival au plus tard le 8 septembre 2023.

Les films devront être envoyés en version dématérialisée par lien de téléchargement WeTransfer, Smash ou MyAirBridge à notre adresse email courtderrierefestival@gmail.com

Pour les supports physiques : sur clé USB ou disque dur déposé à l’accueil du Pôle image de Château Morange à Saint-Denis de La Réunion.
Pour des conditions optimales de projection nous acceptons les fichiers aux caractéristiques suivantes :
Définition HD ou 4K
Format : .mov ou .mpeg4
Codec H264 (de bonne qualité) ou ProRes.

ARTICLE 6. Diffusion des films

Tout réalisateur ou producteur ayant inscrit un film est responsable de la mise à disposition d’une copie du film pour le festival en cas de sélection. Aucun retrait de film après l’annonce de sa sélection ne sera accepté.

Tout film inscrit au festival pourra faire l’objet par la suite de programmations ponctuelles dans le cadre des activités de Klaxon ou Cinemawon. Le cas échéant, les ayants droits seront contactés afin de fixer les modalités de ces projections.

ARTICLE 7. Jury & Prix

Les jurys seront composés de professionnels du cinéma, d’étudiants et du public.

Trois prix seront décernés :
– Le Prix Eli décerné par le Jury professionnel
– Le Prix Makandal décerné par le Jury Etudiant
– Le Prix Heva décerné par le Public

ARTICLE 7bis. Diffusion du Palmarès

Les ayants droit des films récompensés lors du 5e Festival Court Derrière, autorisent le Festival Court Derrière à disposer des droits de diffusion de leur film entre la fin du festival et le 31 décembre 2023 dans le cadre de rediffusion du Palmarès dans des salles partenaires du festival à La Réunion.

Ces diffusions ne pourront excéder une séance par salle. Les ayants droit seront informés de chaque diffusion de ce programme.

ARTICLE 8. Communication & Presse

En cas de sélection, le festival se réserve le droit de présenter un extrait du film aux télévisions locales, nationales ou internationales, n’excédant pas 10% de la durée totale de l’œuvre.
Le Festival se réserve le droit d’utiliser de courts extraits et/ou des images du film dans les outils de communication imprimés ou tout autre support de diffusion, uniquement dans le cadre de la promotion du festival.

ARTICLE 9. Droits d’auteur

– Les ayants-droits des films déclarent détenir les droits d’utilisation de tous les éléments visuels et sonores rentrant dans la fabrication du film qu’ils inscrivent au festival.

– La somme forfaitaire de 100 euros sera versée pour chaque film sélectionné à l’ayant droit identifié lors de l’inscription du film. Le paiement se fera contre facture à l’ordre de l’association Klaxon par virement bancaire (quand c’est possible), PayPal ou par Western Union uniquement.

– L’équipe du festival peut décider à tout moment d’une exception au règlement. Dans ce cas, elle en informera aussitôt par mail le ou les candidats concernés

– La demande d’inscription à la 4e édition du festival « Court Derrière » suppose l’entière acceptation du règlement mentionné ci-dessus.

ARTICLE 10. Diffusion en Ligne

En cas de force majeure, si le festival devait être annulé ou ne pouvait pas être assuré dans des conditions optimales d’accueil du public (interdiction administrative ou toutes autres raisons indépendantes de notre volonté), les organisateurs se réservent le droit de maintenir son édition en ligne partiellement ou totalement.

ARTICLE 11. Dérogations & Litiges

Le comité d’organisation est seul habilité à régler les points non prévus au règlement et à accorder des dérogations. La participation au festival implique l’acceptation sans réserve des termes du présent règlement.
Toute contestation relative à son application et interprétation sera soumise aux tribunaux compétents de Saint-Denis de La Réunion, la loi applicable étant la loi française.

ARTICLE 12. Annulation

Le comité d’organisation se réserve le droit d’annuler le festival, en cas de problème majeur indépendant de sa volonté.

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La ministre Kathungu annonce le festival Okapi

La ministre de la culture, arts et patrimoine, Son Excellence Kathungu Furaha Catherine, a annoncé récemment la création d’un festival de cinéma en République Démocratique du Congo (RDC). Le festival, baptisé OKAPI, a été annoncé lors de la célébration de la Journée Mondiale de l’Art le 15 avril dernier.

L’objectif de ce festival est de promouvoir le cinéma congolais et de créer un espace de dialogue et de partage entre les cinéastes congolais et leurs homologues d’ailleurs. La création de ce festival témoigne de l’engagement du gouvernement congolais à soutenir la croissance et le développement de l’industrie cinématographique dans le pays.

L’annonce de ce festival est en harmonie avec l’alinéa 332 de l’axe 61 de la feuille de route du gouvernement Sama Lukonde, qui prévoit de renforcer les politiques culturelles nationales et de promouvoir la culture congolaise à l’échelle nationale et internationale.

La ministre a également souligné que le festival contribuera à créer des opportunités pour les cinéastes congolais et les acteurs de l’industrie cinématographique en RDC, en leur permettant d’acquérir de nouvelles compétences et de nouer des contacts avec des professionnels du domaine.

Le festival OKAPI suscite déjà beaucoup d’enthousiasme et d’anticipation auprès des cinéphiles congolais et de la communauté cinématographique en général. Il est prévu que le festival accueille des projections de films ainsi que des ateliers, des tables rondes et des rencontres avec des experts de l’industrie cinématographique.

En fin de compte, le festival OKAPI devrait contribuer grandement à la promotion de la culture congolaise ainsi qu’à la croissance et à la diversification de l’industrie cinématographique dans le pays. L’annonce de la création de ce festival est une nouvelle réjouissante pour les cinéphiles et les amateurs de la culture en RDC que nous sommes.

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Évolution du montage dans l'histoire du cinéma
L’évolution du montage dans l’histoire du cinéma

L’histoire du cinéma est riche en évolution, et le montage est l’un des aspects qui ont le plus évolué. Le montage est l’art de juxtaposer différents plans pour créer une continuité visuelle, un rythme et une narration.

Au début du cinéma, les films étaient tournés en plans-séquences, c’est-à-dire des scènes où la caméra ne bougeait pas et où l’action se déroulait dans un seul plan. Ainsi, le montage n’était pas encore un élément important du cinéma.

Cependant, l’arrivée du cinéma muet a changé ce mode de transmission de l’histoire. Les films évoluent désormais dans une narration linéaire, avec une succession de plans qui permettaient de raconter une histoire plus complexe. C’est ainsi que les cinéastes ont commencé à expérimenter différents types de montage pour améliorer la narration, en utilisant des techniques telles que le montage parallèle, l’intertitre (carton), le ralenti, le flash-back ou le montage alterné, à la fois pour raconter une histoire mais aussi pour y apporter du rythme et de l’émotion.

Le montage est un élément clé de l’art visuel du cinéma, et certains grands réalisateurs de l’histoire du cinéma, tels que D.W. Griffith, Sergei Eisenstein, ou encore Alfred Hitchcock, sont célèbres pour leur utilisation innovante du montage pour ajouter de la dimension à leur histoire.

L’évolution de la technologie a également permis d’élargir les possibilités de montage dans le cinéma. L’arrivée de la couleur, du son synchronisé, puis des effets spéciaux ont changé la manière dont on utilise le montage. Les cinéastes peuvent désormais expérimenter encore plus d’effets et de techniques de montage pour laisser libre cours à leur créativité, ajouter de la profondeur à l’histoire ou simplement pour éblouir les spectateurs.

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L’importance du maquillage et de la coiffure au cinéma

La coiffure et le maquillage sont deux éléments clés dans l’industrie cinématographique. Ils représentent une part très importante du travail préparatoire à un tournage et sont utilisés pour créer des personnages crédibles.

Les maquilleurs et les coiffeurs travaillent en étroite collaboration avec les réalisateurs et les acteurs pour créer une apparence qui colle au scénario. Ils ont un rôle essentiel dans la création d’atmosphères et d’émotions, afin de soutenir le réalisateur dans la narration de son histoire. Dans cet article, nous allons examiner comment la coiffure et le maquillage sont utilisés pour créer des personnages crédibles dans l’industrie cinématographique.

La coiffure et le maquillage sont utilisés pour aider les acteurs à devenir leurs personnages. Les acteurs peuvent transformer leur apparence de manière dramatique grâce à la coiffure et au maquillage. Par exemple, dans le film « Le Labyrinthe de Pan », l’actrice Ivana Baquero a été transformée en une princesse elfe grâce à un maquillage spécial et une coiffure qui a fait ressortir son teint clair et ses yeux bleus. De cette façon, les personnages deviennent plus vivants et plus crédibles à l’écran.

Les maquilleurs et les coiffeurs ont également pour rôle de renforcer les traits de caractère des personnages. Le maquillage et la coiffure peuvent souligner les traits importants, tels que les yeux, les pommettes et les lèvres, et contribuer à accentuer la personnalité du personnage. Par exemple, les héros dans les films d’action ont souvent des traits plus anguleux que les méchants, qui ont plutôt des traits lisses et arrondis. Cette technique est utilisée pour renforcer le côté inquiétant des méchants et accentuer le côté héroïque des personnages

Crédit photo : Daniel Adeyelu

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Jamii ya sinema : un cinéclub à Lubumbashi

Jamii ya sinema est un cinéclub installé depuis octobre 2022 à lubumbashi, né de la 7e édition de la Biennale de Lubumbashi qui a eu lieu dans cette même ville et dans la même année.

Un pont s’est jeté entre la Suisse et la RDC lors de la 7e édition de la Biennale de Lubumbashi, où Jackson Bukasa s’est rencontré avec Maria et Raphaël pour donner naissance à Jamii ya sinema club. Un cinéclub qui vise à promouvoir la culture du cinéma en RDC, plus précisément dans la ville de Lubumbashi, la capitale du Haut-Katanga, et surtout qui prône l’échange de culturel par le biais du cinéma.

Les films aussi bien congolais qu’étrangers sont projetés dans un cadre tout à fait pédagogique, nous dit Jackson Bukasa lors d’une interview accordée à cinécongo. Il rajoute en disant que ses projections se passe une fois par mois, et sont itinérantes, mais l’espace principal reste le centre culturel « Picha ».

C’est une bouffée d’air pour les lushois qui s’intéressent de plus en plus au cinéma, bien qu’étant l’une de seule ville du Congo à posséder l’une de 4 salles de cinéma que compte la république, Jackson Bukasa nous apprend qu’ils ne sont pas loin d’une mauvaise nouvelle.

Oui. Ça s’arrête malheureusement en septembre, mais on prie que ça puisse continuer jusqu’après. Mais c’est à l’organisme qui finance le projet d’apprécier. Puisqu’on paie les droits aux cinéastes et tout le travail qui se fait autour

Jackson Bukasa

En sommes, cette initiative est louable et figure parmi activité à soutenir par les autorités en place pour booster le cinéma au niveau local et assurer sa visibilité au niveau international.

Il faut noter ici que Jamii ya sinema est venu de la traduction de Société du film ou du cinéma en swahili. Et aussi que la prochaine projection interviendra demain 30 mars 2023 au centre Picha à partir de 16:00′.

Cliquez ici pour télécharger le programme ou pour consulter le programme

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Le mot « Action » au cinéma : Sens et provenance

Le mot « Action » est étroitement associé au cinéma, mais d’où vient cette utilisation particulière du mot ? Il fait l’orgueil des réalisateurs, parce qu’ils sont les seuls à avoir le droit, sur le plateau, de le prononcer.

En réalité, le mot « Action » était déjà utilisé bien avant l’avènement du cinéma, notamment dans le théâtre, pour indiquer le début d’une scène ou d’un acte.

Au cinéma, l’utilisation du mot « Action » est apparue dès les premiers films muets. Les réalisateurs utilisaient ce terme pour indiquer le début d’une scène, et par extension, le début de l’action. Cette pratique est rapidement devenue universelle dans l’industrie cinématographique, et le mot « Action » est aujourd’hui utilisé dans presque tous les films.

Le cinéma est en effet un art qui privilégie l’image et le mouvement, et le mot « Action » représente parfaitement cette caractéristique. Il est souvent associé à des scènes d’action, telles que les poursuites en voiture ou les combats, mais il peut aussi être utilisé pour indiquer le début d’une scène plus tranquille, comme une conversation entre deux personnages.

En résumé, l’utilisation du mot « Action » au cinéma est originaire du théâtre et s’est rapidement généralisée dans l’industrie cinématographique. Ce mot capture parfaitement l’essence visuelle et mouvementée du cinéma, et est aujourd’hui largement utilisé pour indiquer le début de chaque scène.

Pour illustrer cet article, nous avons sélectionné des photos de films célèbres et d’interviews de réalisateurs qui utilisent le mot « Action ». Ces photos sont libres de droits et peuvent être utilisées sans restriction.

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DG de la Socoda
La Socoda, qu’en est-il des artistes cinéastes ?

Le droit d’auteur est un concept très important dans l’industrie cinématographique. Les créateurs de films et de vidéos ont des droits sur leur travail qui doivent être protégés pour garantir leur rémunération et leur reconnaissance.

En République démocratique du Congo, c’est la Société congolaise des droits d’auteur et des droits voisins (SOCODA) qui est chargée de la gestion des droits d’auteur pour les auteurs congolais.

La SOCODA est une société à but non lucratif créée en 2012 sous l’égide du ministère de la Culture et des Arts. L’objectif principal de cette organisation est de protéger les droits d’auteur et de droit voisin des artistes congolais. Elle collecte les redevances dues aux artistes lorsque leurs œuvres sont utilisées ou reproduites dans les médias, les festivals, les événements publics et les lieux de divertissement en RDC.

Le droit d’auteur donne légalement aux créateurs d’œuvres cinématographiques et audiovisuelles des droits exclusifs d’exploitation et de diffusion de leurs œuvres. Les droits peuvent être répartis en plusieurs catégories, notamment les droits de reproduction, de diffusion, de commercialisation, de traduction et d’adaptation. Les artistes peuvent également donner leur autorisation pour que leurs œuvres soient utilisées à des fins non commerciales ou limitées.

Assemblée Générale de la SOCODA

Pour ce qui concerne la RDC, tout pousse à croire que la SOCODA se penche plus vers la musique que vers les autres arts. En plus, beaucoup qui se trouvent dans l’administration de ladite société, sont plus de la musique entre autre. Il faudrait mettre en place des mécanismes de sensibilisation, d’encadrement et surtout de communication pour regagner la confiance des artistes et la relance effective de cette société de droit.

Le respect des droits d’auteur est crucial pour garantir une industrie cinématographique saine et durable. Pour cela, des mesures doivent être mises en place pour les faire respecter et pour protéger les auteurs d’œuvres cinématographiques. Les sanctions pour les violations de droits d’auteur doivent inclure des amendes et des peines de prison.

En somme, le droit d’auteur est une composante essentielle de l’industrie cinématographique et la SOCODA doit se munir et jouer ce rôle clé pour protéger les droits des artistes congolais en RDC. Les créateurs d’œuvres cinématographiques et audiovisuelles doivent se rapprocher de la SOCODA et doivent être conscients de leurs droits et des processus de gestion des droits d’auteur pour garantir leur juste rémunération et la reconnaissance de leur travail.

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Le téléphone Okapi se lance dans le cinéma

La marque de téléphone Okapi s’est lancée dans la production des films mobiles de qualité. L’efficacité de cette entreprise dans ce domaine suscite beaucoup d’intérêt auprès des amateurs et des professionnels de la cinématographie.

Tout d’abord, la qualité de l’image produite par les téléphones Okapi est exceptionnelle. Les derniers modèles de téléphones disposent d’une caméra haute définition ainsi que d’un système de stabilisation d’image de pointe, permettant aux cinéastes de réaliser des films de qualité professionnelle. Les couleurs sont vives, les détails nets et le niveau de luminosité sont optimales, même dans des conditions de luminosité difficiles. Les téléphones Okapi sont également équipés de capteurs de mouvement qui permettent de stabiliser l’image, évitant les tremblements et les secousses indésirables.

En plus de la qualité de l’image, les téléphones Okapi offrent une grande variété d’options pour la réalisation de films. Les cinéastes peuvent choisir différents paramètres de mise au point et d’exposition pour adapter l’image à leur projet. Ils peuvent par ailleurs choisir entre différentes options de mise en scène et d’effets pour créer l’atmosphère souhaitée.

Cependant, il faut noter que la réalisation d’un film avec un téléphone portable présente aussi des défis. Le plus grand défi est de gérer la durée de vie limitée de la batterie du téléphone. Les batteries des téléphones portables se déchargent rapidement, surtout lorsqu’elles sont utilisées en mode caméra pour obtenir des images de qualité supérieure. Il est donc important de bien planifier son tournage et de s’assurer que le téléphone est complètement chargé avant de commencer la production.

Un autre défi est la mémoire limitée de l’appareil. Les téléphones portables ne disposent pas d’un espace de stockage aussi important que celui des appareils photo ou des caméras traditionnelles. Il est de ce fait nécessaire de sauvegarder régulièrement les fichiers et de les transférer sur un autre support de stockage.

En conclusion, la marque de téléphone Okapi offre une solution de qualité pour la réalisation de films mobiles. Et elle est munie d’une liste des accessoires qui, compléter au téléphone, peuvent efficacement augmenter sa durée de vie et ses performances.

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Mobile film : est-ce la fin de la caméra traditionnelle ?

Le cinéma est un art du spectacle qui a constamment évolué au fil du temps. Il est d’autant pratiquer par la jeunesse qui vient avec, dans l’univers cinématographique, leur outil qu’elle utilise au quotidien : « Le téléphone ».

Avec l’avancement de la technologie, il est maintenant possible de faire des films avec un simple téléphone portable. Cette nouvelle façon de faire du cinéma, il se présente à la fois des avantages et des inconvénients.

L’un des principaux avantages de faire un film avec un téléphone portable est le faible coût de la production. Contrairement à ce qui se passe avec des caméras traditionnelles, il n’est pas nécessaire d’investir dans des équipements coûteux pour réaliser un film avec un smartphone. De plus, la portabilité du téléphone permet de tourner des scènes dans divers lieux sans être submergé par des équipements encombrants.

Avantages

Un autre avantage est la qualité d’image de plus en plus élevée des appareils mobiles. Les derniers modèles de smartphones disposent d’une caméra haute définition, ce qui permet d’obtenir une qualité d’image exceptionnelle pour des productions de petit ou de moyen budget.

Inconvénients

Toutefois, faire un film avec un téléphone a également plusieurs inconvénients. Le plus grand inconvénient est la stabilité de l’appareil. Avec un téléphone portable, la caméra est souvent tenue à la main, ce qui peut entraîner des tremblements et des secousses qui nuisent à la qualité de l’image. Pour palier cela, il faut investir dans un trépied compatible avec le téléphone.

Une marque de téléphone congolais durable et bon pour les mobiles films

Un autre désavantage est la durée de vie limitée de la batterie. Les batteries des téléphones portables se déchargent rapidement, surtout lorsqu’elles sont utilisées en mode caméra. Les cinéastes doivent donc être prévoyants et bien planifier leur tournage, pour éviter les pannes de batterie en plein milieu du tournage.

Enfin, un autre inconvénient est la mémoire limitée de l’appareil. Les téléphones portables ne disposent pas d’un espace de stockage aussi important que celui des appareils photo ou des caméras traditionnelles, ce qui peut limiter le nombre de « takes » (prise, NDLR) enregistrées.

En conclusion, l’utilisation d’un téléphone portable pour faire un film offre de nombreux avantages, notamment en termes de coût et de qualité d’image.

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Du film documentaire à l’élan patriotique d’un peuple

Le documentaire, qui est un genre dans le cinéma, peut jouer un rôle important dans la création d’un sentiment communautaire et patriotique autour d’une cause, d’un lieu ou d’une nation.

Dans le contexte de la République démocratique du Congo (RDC), un documentaire engagé peut être une plaque tournante pour redonner un élan patriotique à la population. Dans cet article, nous analyserons de la manière dont un documentaire peut atteindre cet objectif en explorant certains des éléments-clés qui peuvent contribuer à son succès.

Le pouvoir de l’image et de la narration :

Les documentaires ont la capacité de rassembler un public large et diversifié autour d’un sujet commun en utilisant des images et une narration puissantes. En mettant en évidence les aspects culturels, sociaux et politiques du pays, le documentaire peut renforcer le sentiment d’appartenance à une nation et susciter un sentiment de fierté chez les téléspectateurs.

Le choix du sujet :

Le choix du sujet est très important dans la création d’un documentaire visant à faire naître un élan patriotique. Un documentaire qui évoque des moments glorieux de l’histoire de la RDC, comme la chute du régime Mobutu ou les luttes pour l’indépendance, peut inspirer les citoyens à se rappeler des moments forts de leur histoire et même susciter un sentiment de fierté nationale.

Le traitement du sujet :

Le traitement du sujet est également important. Le choix de la narration, la sélection de la bande sonore, la sélection des images et de la narration sont autant d’éléments qui contribuent à la réussite d’un documentaire. Un documentaire réalisé avec créativité et compétence peut non seulement stimuler l’intérêt des téléspectateurs, mais aussi inspirer leur admiration pour la RDC.

La diffusion :

La diffusion du documentaire est également un élément important pour atteindre un large public. Il peut être diffusé à la télévision, mais aussi dans les salles de cinéma, les festivals de films ou sur internet. La publicité à l’avance, l’organisation de projections publiques, ainsi que la promotion sur les réseaux sociaux peuvent contribuer.

L’État congolais :

L’État congolais a tout intérêt à investir dans les cinéastes et à commander un autant des documentaires que possible, surtout en cette période d’agitation, afin de mettre en lumière cet élan patriotique. C’est vrai qu’en RDC, c’est plus la musique, mais le documentaire, peut dire en un quart d’heure ou en une heure ce qui peut changer la destinée de toute une nation.

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Sotigui 2023 : L’appel à film est lancé

Les SOTIGUI 2023 sont lancés…
Appel à Film ouvert du Mars au 30 Juin 2023.

Prière d’envoyer vos films ou trois épisodes de votre Série TV par lien VIMEO ou Youtube à l’adresse électronique suivante dans les délais requis svp : cinema@academiedessotigui.org

SOTIGUI 2023 is launched…
Call for film Open from 15 March to 30 June 2023.

Please send your films or Three episodes of your TV series by VIMEO or Youtube Link to the following email adress within the required time frame please : cinema@academiedessotigui.org

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Photo de Guyguy
Le cinéma congolais selon Guyguy Diangikulua

Si je dois parler de mon parcours dans le cinéma, je dirai que le chemin est encore long, car je ne suis pas encore arrivée. Guyguy Diangikulua parfois dit « Peguy » nous explique ce qu’elle pense du cinéma congolais, ainsi que de son parcours.

Parcours

J’aime le cinéma, parce que, pour moi, c’est une passion. Quand je regarde un film, ça m’inspire toujours. Ça me donne l’envie d’incarner un rôle. Depuis toute petite, j’aimais faire du théâtre et je l’ai commencé depuis l’école secondaire et je l’ai fait même étant adulte dans la compagnie théâtrale les Roélants. C’est en 2009 que j’ai eu le goût d’intégrer le monde du cinéma. Je suivais Collywood cinéma à la télévision et j’ai décidé d’intégrer ce groupe. C’est comme ça que tout a commencé.

Je me suis lancé d’abord dans l’écriture des scénarios – il m’arrivait de transmettre mes émotions ou mes peines à travers mes écrit. Aujourd’hui, je ne regrette pas d’avoir choisi le cinéma comme mon deuxième métier. Je milite pour les droits des femmes et autres causes à travers mes films. Je suis cinéaste congolaise parmi tant d’autres et j’en suis fière.

Préjugés

Toutefois, être une femme dans le cinéma n’est pas du tout facile, surtout dans notre pays, la RDC, où tout est stéréotypé. Passer à la télé est mal interprété et mal perçu chez nous, essentiellement par des hommes. Beaucoup d’hommes pensent quand on fait la télé ou le cinéma parce qu’on est moins sérieuse, on s’expose, on expose nos corps, etc.
Un homme peut te prendre pour épouse, et après t’interdire de continuer, qu’il t’a trouvé en train de faire alors que c’était ton métier dans lequel tu as des ambitions. D’où il est difficile de voir une femme être soutenue par son mari dans le cinéma pendant que c’est un travail comme tout autre.
Les femmes rencontrent aussi des difficultés et des contraintes dans ce métier, notamment pour trouver le financement chez un bailleur masculin. Bref, ce n’est pas trop facile pour les femmes en général.

Anecdote

J’ai l’habitude d’écrire des scénarios des séries et « J’ai perdu mon bébé » est mon premier court-métrage à travers lequel j’ai voulu rendre hommage aux femmes violentées. J’avais une équipe formidable qui m’a soutenue comme c’était ma première réalisation. L’anecdote ici est que le tournage du film « J’ai perdu mon bébé » s’était déroulé durant la période de confinement. Et avec les gestes barrières qui nous étaient imposés, il n’était pas simple de travailler. Je salue ici le professionnalisme de l’équipe technique et les acteurs m’avaient donné de la force pour réussir le projet.

Petit conseil

Je profite pour donner un conseil aux filles, femmes, qui aimeraient se lancer dans le cinéma. Je dirai ceci : faire du cinéma n’est pas du tout une mauvaise chose. Il ne faut pas avoir peur de le faire. C’est question d’aimer le métier, avoir des objectifs et de rester positive. Si une femme a déjà un métier et qu’elle trouve que le cinéma serait son autre métier, il faut se lancer. Le cinéma est vaste. Personnellement, j’encourage les femmes à se lancer du côté techniques. C’est important que les parents aient un franc-parler avec les enfants au lieu de leur imposer un métier qu’ils ne voudront pas, comme il est fréquent en RDC. Il faut aimer ce qu’on fait pour mettre un peu plus du sien et s’épanouir.

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Clarisse Muvuba invite les femmes au métier du 7e art

Clarisse Muvuba, productrice et réalisatrice congolaise a exprimé ses sentiments en tant que femme cinéaste auprès de Cinecongo à l’occasion du mois de mars 2023.

Pour Clarisse Muvuba, la femme cinéaste ne devait pas se victimiser, parce que comme tout autre humain, elle rencontre les mêmes difficultés, les mêmes partenaires que les hommes dans le métier, et les épreuves des femmes ne sont pas plus dures que celles des hommes, puisque tous cherchent à trouver des solutions pour avancer.

Rappelons que Clarisse Muvuba est directrice du festival cinéma au féminin, festival qui valorise les oeuvres de toutes les femmes qui se démarquent dans le métier du 7e art.

Elle est aussi productrice, réalisatrice, elle sait faire la prise de son, et la prise de vue et sait monter aussi. Dans ses réalisations on sait compter « Les traces », « Olongo » ou encore « Marathon » pour ne citer que ceux-là.

La directrice de cinef, rajoute que, ses réalisations sont quelques fois fruits de ses rencontres dans la vie quotidienne.

« J’exprime par le biais du cinéma, ce que je rencontre, les expériences que je fais et ceci quand je sens le besoin, l’envie de m’exprimer ».

Clarisse Muvuba

Cette icône du cinéma au féminin est contre ces tuteurs qui s’oppose à l’ambition des jeunes femmes à devenir actrice, pour elle, le métier du cinéma est pareil à d’autres métiers.

« Les parents devraient accompagner leurs enfants dans leurs passions, mais ne pas leurs imposer leurs choix et pour ce les enfants devraient suivre leurs passions et se laisser guider par l’intelligence des parents, sans leur laisser éteindre ta passion sur le cinéma, car chaque métier a des difficultés et des obstacles, mais quand on aime une chose, on peut la faire. »

Clarisse Muvuba

Sa carrière a été taillé grâce aux nombreuses formations qu’elle s’est offerte soit en ligne ou en présentiel dans quelques pays comme en Belgique, en RDC, en France, au Canada, pour ne citer que ceux-ci.

Fière de porter ses différentes casquettes dans le métier du cinéma, Clarisse invite les femmes qui sont dans ce métier, à persévérer.

« Poursuivez vos objectifs, et bouchez vos oreilles aux dires des gens, puisque le monde parlera toujours et vous rencontrerez beaucoup des problèmes financiers au début, ayez des nerfs solides pour supporter ça. »

Clarisse Muvuba

Concluant ainsi l’échange.

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« Silence » de Francine Mwika au centre Wallonie

Le film long-métrage de 77 minutes de la réalisatrice Francine Mwika sera diffusé ce mercredi 22 mars 2023 à 19h au centre Wallonie-Bruxelles à Kinshasa.

Synopsis :

Tangi est une victime de viol. Depuis 9 ans, elle développe un trouble de stress post-traumatique. Elle découvre que son violeur et meurtrier de ses parents n’est autre que le mari de sa sœur. Tangi, qui est devenue muette depuis toutes ces années, décide de briser le silence.

Bande-annonce pour la première de « Silence »

De Francine Mwika, Drame de 77 minutes avec Megan Dembo, Priska Enzilame, Moyindo Mpongo, Myriam Eale, Belord Mulopo, Hornela Mukeba et Emmanuelle Kanyeba

Lieu : Centre Wallonie-Bruxelles de Kinshasa

Heure : 19h

PAF : Entrée libre

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Conseils pour améliorer les relations humaines

D’aucun diront pourquoi un tel sujet dans un blog qui traite sur le cinéma ? Il y a un dicton qui dit : « Le cinéma c’est 20% de technique et 80% des relations humaines » allez-y comprendre !

Il est vrai que dans de nombreux domaines, y compris le cinéma, les relations humaines jouent un rôle crucial pour réussir. Que vous soyez un acteur, un réalisateur, un producteur ou tout autre professionnel de l’industrie cinématographique, voici quelques conseils pour améliorer vos relations humaines :

1. Soyez authentique : Les relations humaines sont basées sur la confiance et l’authenticité. Soyez honnête et transparent dans vos interactions avec les autres. Évitez de jouer un rôle ou de cacher vos véritables intentions. Les gens peuvent généralement repérer quand quelqu’un n’est pas sincère.

2. Écoutez activement : Écouter attentivement ce que les autres ont à dire est essentiel pour établir de bonnes relations. Posez des questions, montrez de l’intérêt et soyez respectueux des opinions des autres. La communication est une rue à double sens, alors assurez-vous d’écouter aussi bien que de parler.

Tournage du film « Biloko ya boye »

3. Soyez empathique : Comprendre les sentiments et les perspectives des autres est important pour créer des relations positives. Essayez de voir les choses du point de vue des autres et soyez empathique envers leurs besoins et leurs préoccupations.

4. Soyez collaboratif : Le cinéma est un travail d’équipe, et une attitude collaborative est essentielle pour réussir. Travailler ensemble pour atteindre un objectif commun peut renforcer les relations et favoriser la créativité.

5. Soyez respectueux : La bienveillance et le respect sont la clé pour maintenir des relations saines et productives. Évitez de parler négativement des autres, de critiquer ou de ridiculiser les idées des autres.

6. Développez des relations à long terme : Les relations ne se construisent pas du jour au lendemain. Investissez du temps et de l’énergie dans vos relations pour les faire croître et durer. Prenez le temps de maintenir le contact avec les personnes importantes pour vous et créez des liens solides.

En fin de compte, les relations humaines sont un élément essentiel de la réussite dans le cinéma et dans de nombreux autres domaines. En suivant ces conseils, vous pouvez améliorer vos relations et renforcer votre réseau professionnel.

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Urgent : la démission du SG d’Apro7

C’est ce matin du 06 mars 2023 aux alentours de midi, que tombe l’annonce de la démission du Secrétaire général de l’association des professionnels du 7e art, Apro7 en sigle.

Jean-Jacques N’sele annonce sa démission de ses fonctions de Secrétaire général de l’association des professionnels du 7e art, Apro7 en sigle, ce matin lors d’un pli adressé au collège des fondateurs de ladite association.

Dans la correspondance, pas d’autres informations supplémentaires sur les raisons de la démission, juste un remerciement à tous ceux ou celles qui lui ont accordé des voix à l’élection de son second mandat à la tête d’Apro7.

En effet, après avoir accompli un premier mandat au sein de l’Apro7, un mandat sujet à plusieurs controverses, ça a été une surprise énorme pour tous de le voir être réélu avec une impressionnante victoire face à son unique adversaire Julio Lolo Bibas, qui du reste, grâce à la politique inclusive de Jean-Jacques N’sele s’est vu être attribué les fonctions de secrétaire général adjoint.

Apro7

C’est fini pour moi mon cher, d’autres peuvent faire mieux que moi, la place est à présent libre…

On a un problème de leadership. C’est tout ce que je peux dire.

Jean-Jacques N’sele

Ce sont les seuls et uniques mots que Jean-Jacques N’sele a eu a donné à notre rédaction après l’avoir contacté pour en savoir plus.

Toutes fois, après avoir lu et relu le statut de l’association des professionnels du 7e art, aucune disposition n’a été prise pour faire face à un cas de démission du secrétaire général et la procédure à suivre pour la mise en place d’un bureau suivant.

Place maintenant à plusieurs interprétations du statut par les membres cherchant à comprendre la meilleure procédure à adopter en accord avec les textes, et jusqu’à présent, le bureau exécutif n’a rédigé aucun communiqué officiel sur ce qui est en train de se produire et sur position officielle de l’association.

C’est donc un dossier à suivre…

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Bruit de fond : une bête noire pour les cinéastes.

Après constat, la majorité des films congolais vus durant ces 5 dernières années ont un gros soucis de son. Les bruits de fond demeurant une bête noire pour les cinéastes congolais.

La plupart des cinéastes recourent rapidement à ce qu’on nomme « la post-synchronisation » pour palier à la difficulté d’un mauvais son recueillit durant le tournage. Malheureusement pour eux, il n’y a pas assez des ingénieurs de son ou des producteurs de son du cinéma au Congo.

Le son est donc bâclé et la post-synchronisation détache carrément le public du film. Ce dans ce sens que nous avons échangés avec quelques professionnels du son et obtenu ses orientations. Toutes fois, tous sans exception, conseillent de prendre toutes les précautions durant le tournage pour obtenir un bon son, exactement comme les précautions qui sont prises pour les images.

Les bruits de fond peuvent être un véritable obstacle pour les jeunes cinéastes, car ils peuvent gâcher la qualité du son dans un film. Cependant, il existe des outils logiciels tels qu’Audacity (choisi pour l’exemple parce qu’il est gratuit), qui peuvent aider à isoler ou à supprimer les bruits de fond. Voici les étapes pour le faire :

1. Identifier les bruits de fond : Écoutez attentivement l’enregistrement pour identifier les bruits de fond. Les bruits courants comprennent le bourdonnement, le souffle, le grondement, les clics et les bruits de fond ambiant.

2. Isoler la partie contenant les bruits de fond : Sélectionnez la partie de l’enregistrement qui contient les bruits de fond en utilisant l’outil de sélection.

3. Utiliser la fonction de suppression de bruit d’Audacity : Sur Audacity, allez dans Effets > Supprimer le bruit. Dans la fenêtre qui s’ouvre, cliquez sur « Obtenir un profil de bruit » pour enregistrer les bruits de fond uniquement. Ensuite, sélectionnez la partie de l’enregistrement qui contient les bruits de fond et cliquez à nouveau sur Effets > Supprimer le bruit. Utilisez le curseur de réduction de bruit pour ajuster la quantité de suppression de bruit appliquée.

4. Réécoutez l’enregistrement pour vérifier la qualité sonore : Réécoutez l’enregistrement et ajustez les paramètres si nécessaire.

5. Enregistrez le nouveau fichier audio : Enregistrez le nouveau fichier audio en cliquant sur Fichier > Exporter.

Avec ces étapes, il devrait être possible d’isoler ou de supprimer efficacement les bruits de fond dans un enregistrement audio. Cependant, il est important de noter que la qualité sonore peut être affectée si la suppression de bruit est trop importante. Il est donc recommandé d’utiliser la fonction de suppression de bruit avec parcimonie et de réécouter l’enregistrement plusieurs fois pour en vérifier la qualité sonore.

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Color grading : un valeur ajoutée pour un film.

Le color grading est un processus de post-production qui consiste à ajuster les couleurs d’une vidéo ou d’un film pour améliorer sa qualité visuelle et son esthétique globale. Bien que souvent utilisé dans les productions professionnelles, le color grading peut également être bénéfique pour les films faits de manière amateur, notamment ceux réalisés par de jeunes cinéastes congolais.

Tout d’abord, le color grading peut aider à améliorer la qualité visuelle de la vidéo en corrigeant les couleurs et les contrastes pour les rendre plus nets et plus dynamiques. Cela peut donner à la vidéo un aspect plus professionnel et plus esthétique, ce qui peut aider à capter l’attention du public et à rendre l’histoire plus captivante.

De plus, le color grading peut être utilisé pour donner une atmosphère particulière à une scène ou à un film dans son ensemble. Par exemple, des tons chauds peuvent être utilisés pour créer une ambiance chaleureuse et accueillante, tandis que des tons froids peuvent être utilisés pour créer une ambiance plus sombre et plus dramatique. Cela peut aider à renforcer les émotions et les messages que le film cherche à transmettre.

En outre, le color grading peut servir à équilibrer les couleurs dans les différentes scènes d’un film, ce qui peut rendre l’ensemble plus cohérent et plus harmonieux. Cela peut permettre à atténuer les distractions visuelles inutiles et à améliorer la fluidité du récit.

Enfin, le color grading peut faciliter à renforcer l’identité visuelle du film et à le distinguer des autres productions. En ajoutant une touche personnelle ou en choisissant des couleurs spécifiques pour les scènes clés, les jeunes cinéastes congolais peuvent créer un film unique et mémorable qui se démarquera de la concurrence.

Un certain nombre de logiciels populaires permettent de faire un color grading pro avec peut de ressources : En tête d’affiche il y a DaVinci Resolve, Finalcut xpro, Adobe Première, Vegas pro, etc… Bien que la liste soit longue, l’essentiel est de permettre aux amateurs et jeunes cinéastes, avec un investissement de base minimum, obtenir un rendu professionnel pour son film.

En somme, le color grading peut apporter une grande valeur ajoutée aux films faits de manière amateur par des jeunes cinéastes congolais en améliorant leur qualité visuelle, en créant une ambiance particulière, en équilibrant les couleurs et en renforçant leur identité visuelle.

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Le métier du producteur exécutif. Tâches et compétences.

Un post clé dont les responsabilités sont quasi méconnu du public, et même de l’équipe de production dans un tournage.

Le métier de producteur exécutif, qui est différent du producteur délégué ou encore de producteur associé, est une fonction cruciale dans une production cinématographique et audiovisuel. En voici pour vous les contours.

Le métier de producteur exécutif est un rôle clé dans l’industrie du cinéma, de la télévision et de la production vidéo. Le producteur exécutif est généralement responsable de superviser tous les aspects de la production, y compris la gestion des budgets, la planification et l’organisation des tournages, le recrutement de personnel clé, la coordination des activités sur le plateau et la prise de décisions importantes concernant le projet.

Le producteur exécutif travaille en étroite collaboration avec le réalisateur, le scénariste et d’autres membres de l’équipe de production pour s’assurer que le projet est mené à bien dans les délais et selon les normes de qualité requises.

Les compétences clés pour ce rôle comprennent une grande capacité d’organisation, une excellente gestion du temps et des ressources, une aptitude à prendre des décisions rapidement et efficacement, ainsi qu’une solide connaissance de l’industrie et de ses tendances.

Le producteur exécutif doit également être un excellent communicateur, capable de collaborer avec des personnes de tous niveaux de l’industrie et de maintenir une communication claire et transparente avec tous les membres de l’équipe.

Il doit également être en mesure de résoudre rapidement les problèmes et les conflits qui peuvent survenir au cours de la production, tout en gardant un œil sur le budget et les délais.

En termes de formation et d’expérience, de nombreux producteurs exécutifs ont des diplômes en cinéma, en production vidéo ou en gestion d’entreprise, ainsi qu’une expérience de travail préalable dans l’industrie. Ils peuvent également avoir des compétences spécialisées dans des domaines tels que la finance, le marketing ou la distribution, selon les besoins du projet.

En somme, le producteur exécutif est un poste crucial dans la production d’un film ou d’une série télévisée, assurant la gestion efficace de tous les aspects de la production, tout en maintenant un niveau élevé de qualité et de communication avec tous les membres de l’équipe.

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Yann NZEMBELE fait le point sur le cinéma dans le Kongo-centrale

La rédaction de cinécongo est allé à la rencontre de Yann Nzembele, cinéaste, producteur et réalisateur, dont la maison de production « Diviprodcine » est positionnée à Matadi, capitale de la province du Kongo-centrale en RDC.

Rédaction de cinécongo :

Bonjour M. Yann Nzembele, vous êtes cinéaste, réalisateur et producteur, vous êtes aussi à la tête de la structure de production « Diviprocine ». Nous n’irons pas par 4 chemins, qu’est-ce qui empêche « Diviprocine » de s’épanouir davantage ?

Yann Nzembele :

Il conviendrait de noter tout d’abord qu’Aujourd’hui Diviprodcine est une société de production audiovisuelle et cinématographique. Nous proposons divers produits et services liés directement à la vidéo (vidéos promotionnelles, clips, spots publicitaires, reportage d’événements, etc.) d’une manière générale, et spécifiquement à la production cinématographique. Allez-y comprendre que nous avons ouvert des branches connexes pour faire tourner la boîte. Concernant le côté cinéma :

  • Problème d’équipement adéquat. Ils coutent chers et demande un investissement sérieux. Équipement visuel, audio, bref, tout ce qui rentre dans la production.
  • Problème d’infrastructure
    Une maison de production cinéma doit bien avoir des locaux pour le studio, administration, etc. Diviprodciné n’a pas encore atteint l’autonomie de payer un bail pour un bâtiment qui répond aux normes. Il est donc difficile d’avoir une pleine confiance en une telle société.
  • Problème d’opportunité
    Le marché de la cinématographie n’est pas perçu comme un business. L’absence de distributeur, et c’est pratiquement difficile de se frayer un chemin au niveau national, par manque d’intérêt de la part des potentiels clients.
  • Problème lié à la main d’œuvre qualifiée (techniciens et acteurs)
    Le taux des personnes qualifiées est quasi-nul.

R.C : La ville de Matadi récence combien de structures de cinéma en vogue et comment font-elles pour exister malgré les difficultés que vous venez d’évoquer ?

Y.N : Y a pas mal de structure de formation informelle et travaillant dans l’illégalité. Elle se prolifère du jour au lendemain, sans expertise, sans qualification, et avec un style très atypique. Sinon, je citerai Kolywood International (légalement créé), Mukongofilm (informel), biso film (informel).

R.C : Avec ceux qui vous venez de citer, à combien estimez-vous la quantité des films produits ces 10 dernières années ?

Y.N : Je dirais moins de vingt : « PARDON », produit par Kollywood international, « LA PIERRE & MABANGA », de Mukongofilm, « Fatale » de diviprodcine et « LA VENGEANCE » de Biso film et CBA pour ne citer que ceux-là. Seul « Pardon » a fait l’objet d’une première en salle, le reste, c’est de l’autosatisfaction.

R.C : Wow ! Mais Y a-t-il des avancées significatives en matière de production cinématographique au Kongo-centrale ? Qualitativement et quantitativement ?

Y.N : On revient au problème d’équipement, d’infrastructure, de stratégie, etc. Nous dirons qu’à l’heure actuelle, il n’y a pas vraiment d’avancée, bien que les caméras actuellement utilisées soient meilleures que celles utilisées il y a dix ans…

R.C : Pourquoi ce niveau est si bas ? Oui, vous avez cité les équipements, les infrastructures, mais qu’en est-il des acteurs ?

Y.N : Le niveau est assez bon. Cela est dû au manque de formation, dans le domaine. Mais je pense que c’est la direction d’acteur qui pose un problème. Il faudrait former des bons réalisateurs capables d’assurer une meilleure direction d’acteurs.

R.C : Qu’en est-il des festivals au Kongo-centrale ?

Y.N : C’est très rare. Il est prévu un festival au mois de mars. Il n’y a pas de semaine de film malheureusement.

R.C : M. Yann NZEMBELE, merci.

Y.N : C’est moi qui vous remercie.

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La problématique de la sous-représentation des femmes au cinéma.

Généralement, les femmes sont attirées vers les métiers de l’image et du son qui offrent une grande visibilité et une forte audience. Cependant, en RDC, le monde de l’image et du son est quasi tabou pour les femmes.

Réflexion de notre rédaction en l’approche du mois de Mars, qui sera dédié au numérique et donc de surcroît au cinéma. Dans cette réflexion, nous allons également proposer des pistes de solutions pour endiguer le problème.

En République démocratique du Congo (RDC), les femmes sont sous-représentées dans l’industrie cinématographique. Cette situation est due à plusieurs facteurs, notamment les stéréotypes de genre, les normes sociales et culturelles restrictives, le manque de financement et les clichés sociétaux.

Tournage du film Biloko ya boye

Le manque de financement est l’un des principaux obstacles pour les femmes cinéastes en RDC. Les femmes ont souvent du mal à trouver des investisseurs pour financer leurs projets, car les « investisseurs » qui se présentent à elles, ont tendance à leur demander des contreparties sexuelles pour financer leur projet.

De plus, les femmes sont souvent sous-estimées par rapport aux hommes pour le même travail, ce qui rend encore plus difficile pour elles d’être financé pour leurs projets.

Les stéréotypes de genre sont également un facteur important dans la sous-représentation des femmes dans l’industrie cinématographique en RDC. Les femmes sont souvent reléguées à des rôles secondaires dans les films et les films qui sont centrés sur des femmes sont souvent perçus comme ayant moins de valeur que ceux qui sont centrés sur des hommes. Les femmes sont par ailleurs considérées comme étant moins compétentes que les hommes en matière de réalisation de films.

Pour lutter contre la sous-représentation des femmes dans l’industrie cinématographique en RDC, il est important de promouvoir la diversité et l’inclusion dans le secteur. Déjà le fait, pour une femme, d’être trop visible, la rend moins « mariable » et sujet à des préjugés. Il faut juste pour la société de considérer la femme cinéaste comme exerçant une profession et non comme se mettant en avant pour trouver facilement un homme à marier.

Les investisseurs et les producteurs doivent également être encouragés à financer les projets de femmes cinéastes.

Tournage de la web-série « Intimes »

Il est important de sensibiliser le public à l’importance de la diversité et de l’inclusion dans l’industrie cinématographique. Les femmes cinéastes doivent être mises en avant et célébrées pour leur travail, afin de donner aux jeunes filles des modèles de réussite à suivre, à l’instar de Clarisse Muvuba, initiatrice du festival « Cinéma au féminin », festival qui fustige effectivement cette discrimination.

En conclusion, la sous-représentation des femmes dans l’industrie cinématographique en RDC est un problème complexe qui doit être abordé à travers une combinaison de politiques, de programmes et de sensibilisation du public. En promouvant la diversité et l’inclusion dans le secteur, nous pouvons aider à créer un environnement plus équitable pour les femmes cinéastes en RDC.

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Les films à voir durant la Saint Valentin

Il s’agit là d’une liste non exhaustive et d’autres films pourraient être inclus en fonction des préférences personnelles.

Voici une liste de films populaires sur le thème de la Saint-Valentin :

1. « Love Actually » (2003)
2. « The Notebook » (2004)
3. « Valentine’s Day » (2010)
4. « 500 Days of Summer » (2009)
5. « When Harry Met Sally » (1989)
6. « To All the Boys I’ve Loved Before » (2018)
7. « 10 Things I Hate About You » (1999)
8. « Pretty Woman » (1990)
9. « 27 Dresses » (2008)
10. « La La Land » (2016)

Crédit photo : Michel Léman

La Saint-Valentin est un jour célébré dans le monde entier en l’honneur de l’amour et de l’affection entre les couples. C’est une occasion pour les amoureux de se montrer leur affection en se faisant des cadeaux, en partageant un dîner romantique ou en se promenant dans un lieu idyllique.

Le cinéma a souvent joué un rôle important dans la façon dont nous percevons la Saint-Valentin et les relations amoureuses. De nombreux films de Saint-Valentin sont sortis au fil des ans, qui célèbrent l’amour, la romance et les défis auxquels sont confrontées les relations. Les films de Saint-Valentin peuvent varier considérablement en termes de genre, allant des comédies légères aux drames émotionnels en passant par les films d’aventure et les films d’horreur.

Certains des films de Saint-Valentin les plus connus incluent « Love Actually », « Notting Hill », « The Notebook », « When Harry Met Sally » et « Sleepless in Seattle » ou même « Valentin filou » pour ce qui est de la RD Congo.

Chacun de ces films explore différents aspects de l’amour et de la romance, tout en offrant une touche unique à la façon dont la Saint-Valentin est célébrée à l’écran.

Bande-annonce de « N’oublie jamais » ou « Notebook »

Il est intéressant de noter que les films de Saint-Valentin ne s’adressent pas toujours aux couples en couple. De nombreux films célèbrent également l’amour dans toutes ses formes, y compris l’amitié et l’amour inconditionnel, et peuvent s’adresser à un public plus large.

En fin de compte, le thème de la Saint-Valentin et le cinéma sont indissociables. Les films offrent un moyen divertissant de célébrer l’amour et la romance, tout en nous permettant de nous évader dans des histoires captivantes et émouvantes.

De plus, ils nous offrent une occasion de réfléchir à nos propres relations et à la façon dont nous pouvons montrer notre affection à ceux que nous aimons.

Crédit photo : Tima Miroshnichenko

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Le cinéma et la radio donnent le Drive-ins.

En ce jour où le monde célèbre la journée mondiale de la radio, le 13 février de chaque année, nous pensons au « Drive-ins » qui concile cinéma et autoradio.

C’est quoi le Drive-ins ? Nos rédacteurs se sont penchés sur la question et voilà les résultats de l’enquête :

Les drive-ins sont des cinémas en plein air où les spectateurs peuvent assister à des projections de films depuis le confort de leur voiture. Cela a été très populaire dans les années 1950 et 1960, mais leur popularité a diminué avec l’augmentation de la popularité des cinémas intérieurs.

Cependant, avec l’épidémie de COVID-19 en 2020, ils ont connu un regain de popularité, car ils permettent aux gens de regarder des films en toute sécurité tout en respectant les mesures de distanciation sociale.

Les drive-ins sont souvent installés dans des espaces ouverts, tels que des parcs de stationnement, et disposent d’un écran géant sur lequel les films sont projetés. Les spectateurs peuvent écouter le son du film grâce à une fréquence FM diffusée sur leur autoradio.

Certains drive-ins proposent également des snacks et des boissons à emporter, ainsi que des tables pour les spectateurs qui souhaitent manger pendant le film.

Crédit photo : Écran total

L’expérience de cinéma en voiture peut être très agréable, car elle permet aux spectateurs de se détendre dans leur propre environnement et de regarder le film sans être dérangé par les bruits extérieurs ou les sièges inconfortables. Cela peut également être une occasion de sortir de la maison et de passer du temps en famille ou avec des amis.

En outre, les drive-ins peuvent être un moyen économique de regarder des films, car les coûts d’entrée sont souvent moins élevés que pour les cinémas traditionnels. Ils peuvent également être un moyen pour les communautés de soutenir les cinémas locaux et de célébrer la culture cinématographique.

Bien que très peu connu en RD Congo, ce ne sont pas les espaces qui manquent pour tenter l’expérience et voir si le procéder pourrait être adopté ou non. Nous pensons, que la RDC, surtout Kinshasa et Lubumbashi qui sont friandes des nouvelles tendances, peuvent mordre à l’hameçon et adopté le drve-ins, pourquoi pas le rendre populaire.

En conclusion, les drive-ins peuvent être une expérience amusante et unique pour regarder des films. Ils permettent aux gens de se détendre et de profiter d’un film en toute sécurité, tout en offrant une occasion de sortir de la maison et de célébrer la culture cinématographique.

Crédit photo : topgear

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Adapter un livre pour un film à succès.

Au Congo, quasiment ou pratiquement pas grand film adapté d’un livre, et pourtant, c’est monnaie courante sous d’autres cieux.

Il y a plusieurs raisons pour lesquelles les grands films sont souvent des adaptations de livres :

1. Histoires éprouvées : Les livres ont souvent des histoires qui ont été affinées et testées par les lecteurs. Les auteurs ont passé du temps à développer des personnages intéressants, une intrigue captivante et des thèmes complexes. Cela en fait une source fiable d’histoires pour les réalisateurs de films.

2. Publicité préconstruite : Les livres populaires ont souvent déjà une base de fans dévoués qui attendent avec impatience l’adaptation cinématographique. Cela signifie que le film a déjà une publicité préconstruite et une base de fans potentiels, ce qui peut aider à stimuler les ventes de billets.

3. Économies de temps et d’argent : Les livres peuvent offrir des descriptions détaillées des personnages, des lieux et des événements, ce qui peut aider les réalisateurs à économiser du temps et de l’argent en évitant de devoir développer tout cela à partir de zéro. En outre, le livre peut fournir une source de dialogue, ce qui peut également aider les scénaristes à économiser du temps et de l’énergie.

4. Collaboration : Les adaptations de livres permettent souvent une collaboration entre des auteurs, des réalisateurs, des acteurs et des producteurs. Les réalisateurs peuvent travailler avec des auteurs pour affiner l’histoire pour l’écran, tandis que les acteurs peuvent travailler avec des écrivains pour mieux comprendre les personnages qu’ils interprètent.

5. Crédibilité : Les adaptations de livres peuvent offrir une certaine crédibilité aux films en les associant à des histoires déjà populaires et aimées. Les cinéastes peuvent ainsi capitaliser sur la réputation positive d’un livre pour attirer des spectateurs au cinéma.

En fin de compte, il y a de nombreuses raisons pour lesquelles les adaptations de livres sont populaires dans l’industrie du cinéma. Cependant, cela ne signifie pas que toutes les adaptations de livres se traduisent par des films réussis, car la transposition d’une histoire littéraire complexe sur grand écran peut présenter des défis uniques.

Nous avons autant d’ouvrages et d’histoires qui n’attendent qu’à être porté à l’écran pour le plaisir des spectateurs qui n’attendent qu’à revivre la nostalgie de leur enfance.

Non seulement cela, la jeune génération pourrait se rapprocher plus de sa culture en revisitant la jeunesse de leur parent et ainsi affirmé ses origines.

Crédit photo Pixabay

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Pourquoi dit-on du cinéma, le 7e art ?

La peinture, la sculpture, la musique, des arts nés bien avant et qui, dans le cinéma, se subliment davantage, à l’instar du dernier Cameron – Avatar, la voie de l’eau.

Le terme « 7ème art » est une expression qui a été popularisée par Ricciotto Canudo, un critique d’art italien, dans son manifeste intitulé « Manifeste des sept arts » publié en 1911. Dans ce manifeste, Canudo considère que le cinéma est le 7ème art car il allie les six arts traditionnels (la peinture, la sculpture, l’architecture, la musique, la poésie et la danse) en utilisant les techniques et les moyens les plus avancés de son époque.

Le cinéma est considéré comme un art à part entière car il utilise la narration, la mise en scène, la musique, le montage, les effets spéciaux et les acteurs pour raconter une histoire de manière visuelle et immersive. Il peut susciter des émotions telles que la tristesse, la joie, la peur ou la surprise, et peut également faire réfléchir sur des questions sociétales ou philosophiques.

En outre, le cinéma peut également s’inspirer des autres arts pour créer des films complexes et esthétiques. Par exemple, un film peut utiliser des techniques de montage similaires à celles utilisées dans la peinture, ou peut s’inspirer de la musique pour créer une atmosphère dramatique. De plus, de nombreux films sont adaptés à partir de livres, de pièces de théâtre ou de bandes dessinées, montrant ainsi comment le cinéma peut tirer parti d’autres formes d’art pour raconter des histoires.

En conclusion, le cinéma est considéré comme le 7ème art car il allie les différentes formes d’art en utilisant les technologies les plus avancées pour créer des expériences visuelles et narratives uniques. C’est un moyen de divertissement, de distraction, de réflexion et d’expression pour les cinéastes et les spectateurs du monde entier.

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Les grands classiques du cinéma à revoir absolument

Il existe de nombreux grands classiques du cinéma qui méritent d’être revus. C’est d’autant plus inspirant et recommandé aux jeunes cinéastes de les voir et de s’en nourrir. C’est classiques à eux seuls sont une école de cinéma, et la meilleure.

Voici quelques-uns des plus importants :

1. « Citizen Kane » (1941) de Orson Welles : considéré comme l’un des plus grands films de tous les temps, « Citizen Kane » explore la vie d’un magnat de la presse à travers le point de vue de plusieurs personnages.

2. « Casablanca » (1942) de Michael Curtiz : cette histoire d’amour et d’espionnage se déroule pendant la Seconde Guerre mondiale et est considérée comme l’une des plus grandes comédies dramatiques de tous les temps.

3. « Le magicien d’Oz » (1939) de Victor Fleming : ce conte de fées classique a enchanté des générations de spectateurs avec ses personnages mémorables, sa musique entraînante et ses effets spéciaux innovants.

4. « Psycho » (1960) d’Alfred Hitchcock : ce thriller suspense a redéfini le genre en présentant un tueur en série effrayant et un dénouement surprenant.

5. « La vie est belle » (1946) de Frank Capra : cette comédie dramatique met en scène un père déterminé à faire en sorte que sa famille survive pendant la Dépression, malgré tous les obstacles qui se dressent sur leur chemin.

6. « Les quatre cents coups » (1959) de François Truffaut : ce drame sur l’adolescence a marqué le début de la Nouvelle Vague française et a été salué pour sa direction innovante et son récit émouvant.

7. « Le Parrain » (1972) de Francis Ford Coppola : ce film de gangsters épique est considéré comme l’un des meilleurs films de tous les temps et a établi de nouveaux standards pour les films de genre.

En résumé, ces grands classiques du cinéma offrent une combinaison unique d’intrigues captivantes, de personnages complexes, de mise en scène virtuose et de mémorables moments cinématographiques qui les rendent incontournables.

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Différence entre le cinéma Congolais et Nollywood
Le grand fossé entre le cinéma congolais et Nollywood

Le cinéma congolais et Nollywood sont deux industries cinématographiques en développement en Afrique, mais il existe un fossé entre eux en termes de production et de portée.

Nollywood, basé au Nigeria, est la plus grande industrie cinématographique en Afrique, produisant environ 2 000 films par an. Le cinéma congolais, quant à lui, ne produit que quelques films par an et n’a pas encore atteint la même notoriété que Nollywood.

Cependant, le cinéma congolais se distingue par une approche plus artistique et une préoccupation pour les sujets sociaux importants, tels que les problèmes politiques, la corruption et les droits de l’homme. Nollywood, d’autre part, se concentre davantage sur les genres commerciaux populaires tels que la comédie, l’amour et les films de genre.

Le fossé entre les deux industries peut également être attribué à des différences dans les moyens financiers et technologiques. Nollywood bénéficie d’un soutien financier plus important et d’une technologie plus avancée, ce qui lui permet de produire des films de qualité supérieure. Le cinéma congolais, quant à lui, fait face à des défis financiers et techniques, ce qui peut entraver la qualité de ses productions.

Malgré ces défis, le cinéma congolais continue de se développer et de gagner en reconnaissance. De nombreux réalisateurs congolais talentueux travaillent sans relâche pour produire des films qui reflètent la diversité et la complexité de la société congolaise.

En fin de compte, le cinéma congolais et Nollywood ont tous deux beaucoup à offrir et contribuent de manière importante à la culture africaine.

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