Cinecongo
Jamii ya sinema : un cinéclub à Lubumbashi

Jamii ya sinema est un cinéclub installé depuis octobre 2022 à lubumbashi, né de la 7e édition de la Biennale de Lubumbashi qui a eu lieu dans cette même ville et dans la même année.

Un pont s’est jeté entre la Suisse et la RDC lors de la 7e édition de la Biennale de Lubumbashi, où Jackson Bukasa s’est rencontré avec Maria et Raphaël pour donner naissance à Jamii ya sinema club. Un cinéclub qui vise à promouvoir la culture du cinéma en RDC, plus précisément dans la ville de Lubumbashi, la capitale du Haut-Katanga, et surtout qui prône l’échange de culturel par le biais du cinéma.

Les films aussi bien congolais qu’étrangers sont projetés dans un cadre tout à fait pédagogique, nous dit Jackson Bukasa lors d’une interview accordée à cinécongo. Il rajoute en disant que ses projections se passe une fois par mois, et sont itinérantes, mais l’espace principal reste le centre culturel « Picha ».

C’est une bouffée d’air pour les lushois qui s’intéressent de plus en plus au cinéma, bien qu’étant l’une de seule ville du Congo à posséder l’une de 4 salles de cinéma que compte la république, Jackson Bukasa nous apprend qu’ils ne sont pas loin d’une mauvaise nouvelle.

Oui. Ça s’arrête malheureusement en septembre, mais on prie que ça puisse continuer jusqu’après. Mais c’est à l’organisme qui finance le projet d’apprécier. Puisqu’on paie les droits aux cinéastes et tout le travail qui se fait autour

Jackson Bukasa

En sommes, cette initiative est louable et figure parmi activité à soutenir par les autorités en place pour booster le cinéma au niveau local et assurer sa visibilité au niveau international.

Il faut noter ici que Jamii ya sinema est venu de la traduction de Société du film ou du cinéma en swahili. Et aussi que la prochaine projection interviendra demain 30 mars 2023 au centre Picha à partir de 16:00′.

Cliquez ici pour télécharger le programme ou pour consulter le programme

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Nestor Kongolo annonce pour bientôt « Caroline »

Évoluant à Lubumbashi auprès du producteur et président d’AFRIWA, Trésor Onema, Nestor Kongolo, cadreur et monteur, signe sa première réalisation « Caroline ».

Nestor KONGOLO, licencié en design et multimédia a l’école supérieure d’informatique SALAMA à Lubumbashi, va bientôt lancer « CAROLINE » qui est son tout premier court-métrage de lui en tant que réalisateur.

En effet, nous le retrouvons comme cadreur et monteur dans « Kitofu » et « Anakapachia » avant de signer comme réalisateur dans son court-métrage d’une vingtaine de minutes dont ci-après le synopsis.

Synopsis :

RICHARD le jeune riche et CAROLINE tombent amoureux. Leur relation amoureuse se complique lorsqu’une troisième personne, Rachel, amie de Caroline, fait irruption. Son but, conquérir le cœur de Richard au détriment de son amitié avec Caroline.

L’idée du film vient de mon entourage que j’ai développé en ma manière pour y ajouter une fin tragique.

Le message derrière ce film est que parfois les difficultés et les problèmes que nous rencontrons dans la vie, ne viennent jamais de trop loin.

Nestor Kongolo

Cette œuvre, selon son auteur Nestor Kongolo, est à découvrir tout juste après le Festival de film de Lualaba. Sans en dire plus, ce teaser ci-dessous annonce déjà les couleurs du court-métrage que les lushois auront à découvrir lors de la grande première.

À la question de savoir comment est-ce que le jeune réalisateur a atterri dans la profession ? Voilà sa réponse :

J’ai toujours aimé faire la vidéo, chose qui m’a envoyé étudier le design et multimédia a Salama à Lubumbashi.

Juste après mes études, j’ai commencé à réaliser des gags avec les comédiens de la place (Gratien lemama, miliki, dar es Salam …) C’est en ce temps-là que j’ai commencé à m’exercer en tant que scénariste et deux ans après, j’ai adhéré le groupe AFRIWA du président Trésor Onema et c’est grâce à ce groupe qu’aujourd’hui Caroline verra le jour.

Nestor Kongolo
Bande-annonce du film « Caroline »

Toutes fois, Nestor Kongolo fustige un problème récurrent qui traverse intégralement toutes les provinces de la RD Congo, celui des moyens qui font défaut pour avoir une production cinématographique digne de ce nom.

Il a été donc obligé de mettre son talent en tant que monteur en avant pour prévoir tout ce dont il aurait besoin comme images et faire en sorte de ne rater aucun plan et ainsi minimiser les frais de tournage.

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Plamedi Nzuzi
Plamedi Nzuzi : L’acteur Lushois ne gagne pas sa vie

J’ai eu le rôle masculin dans le film Anakapachia. J’y joue Dekalo le mari de Beina incarné par Rachel Bangala.

Je suis encore Étudiant et aussi un acteur de cinéma. Je réponds au nom de NZUZI NSINGA PLAMEDI.

Mon rôle dans le film Anakapachia était juste d’incarner un homme, je pourrais dire irresponsables, un parieur qui n’a pas de chance aux jeux jusqu’au point où il vend sa femme après avoir perdu.

Vie ya congolais eza lokola combat ya Ali n’a foreman

Groupe  »MPR »

c’est l’une de partie de la chanson « nini tosali te » du groupe  »MPR ».

Je voulais dire quoi par là, certes, c’est assez difficile pour qu’un jeune congolais puisse s’épanouir totalement, il essaie au moins de trouver refuge aux jeux de hasard qui d’après moi, sont des jeux de chance mais qui vous pousse à gaspiller rapidement le peu d’argent que vous avez. Donc si vous avez de la chance de gagner votre pari et si c’est le contraire vous perdrez tout.

Rachel et Plamedi devant le public
Rachel et Plamedi devant le public dans le jeu de question-réponse

Pour ma part dans le film je n’avait pas de chance. C’est n’était pas facile d’incarner ce rôle, Je ne passais pas la journée sans revoir mon script. On dormait tard pour se réveiller tôt et avec Rachel on fait tout pour être au meilleur et avoir un bon résultat.
Je n’aurais que trois ans dans quelques mois dans ce monde de cinéma. Je ne suis qu’un apprenti mais ça ne m’empêche pas d’observer tout ce qui se passe au tour de moi. C’est ainsi que je peux me permettre de dire que la vie d’acteur ici à Lubumbashi est complètement simple comme toujours. La seule différence est qu’il y aura probablement quelqu’un qui va te reconnaître ou pas du tout quand tu marches dans la rue. Pour ce qui concerne la situation financière, rien n’est vraiment fameux. Un acteur ne gagne quasi rien, mais avec le peu là, on travaille avec tout notre cœur et c’est ça qu’on appelle une passion.
Oui, c’est mon objectif de faire carrière dans le monde cinématographe et je travaille dure pour être toujours au meilleur de ma forme

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Salle de cinéma
Le Congo est à la recherche de son image pour le monde

Kinshasa est une mégapole de plus de 12 millions d’habitants qui ne compte que deux salles de cinéma de 80 places au maximum. La tendance est-elle à la télévision où pour le grand écran ?

Après avoir minutieusement étudier les statistiques, la question n’est plus à se poser. La télévision n’a pas de concurrent pour ce qui est de la tendance actuelle.

Mais plus encore, lorsque nous regardons de plus près aux chiffres, la chaîne locale à être mieux suivi est la RTNC, d’abord parce qu’elle est nationale, ensuite parce qu’elle se retrouve sur tous les bouquets et après parce qu’elle a la primeur pour les informations concernant la RDC.

En parlant de bouquet, Canal+ avec Easy TV bat tous les records, suivi de près par Startimes et Bluesat, tout simplement parce qu’ils offrent des chaînes comme Novelas (Surtout friand des femmes et jeunes filles) ensuite des chaînes sportives.

Où est donc là la place du cinéma ? Les congolais consomment-ils des films ? La réponse est oui, mais aussi non.

La tendance montre clairement que lors des recherches sur internet, nombreux des congolais localisés surtout dans la province orientale, dans le SUD-KIVU et dans le Katanga désir avoir des informations sur le cinéma congolais. Kinshasa quant à lui, recherche plus les nouveautés blockbuster, etc.

Donc la demande existe, mais est-ce que l’offre pourrait-il répondre ?

Cette question en ouvre d’autres et exige des préalables pour voir naître en effet un cinéma au Congo :

  • La production des films
  • La promotion
  • L’exploitation
  • La diffusion et la distribution
  • Etc.

Autant des préalables qui demeurent inexistant au Congo-Kinshasa et qui font que Kinshasa ne sache plus se voir, noyer par la dizaine de millier de production mondial par an.

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Rachel Bangala
Rachel Bangala : L’acteur n’a pas d’ampleur au Congo

Je suis Rachel Bangala, licenciée en droit économique et social, entreprenante et ambitieuse. Pour moi, l’acteur n’est pas vu dans toute sa splendeur.

J’ai incarné le rôle de Beina la femme de Dekalo dans le film Anakapachia du réalisateur Trésor Onema. Le personnage de Beina certes est amoureuse, l’amour ne doit pas nous bander les yeux comme le dit un proverbe. En matière de choix d’un homme pour la vie, plusieurs aspects entrent un jeu. Un homme doit être un débrouillard, un homme qui ne réfléchit pas qu’en fonction de lui ou de ses besoins mais en fonction de l’avenir du couple. En soit, un homme doit être courageux.
Pour le film, Beina n’a pas su faire un bon choix. Elle en a payé le prix fort, sa vie.
Pour pouvoir incarner un personnage il faudrait s’imaginer étant cette personne en vrai, vivant la situation et menant ses actions.
Le personnage de Beina, je dirais, c’était le juste milieu : ni facile ni difficile parce que je me suis vue vivant cette situation comme si elle était réelle pour moi.

Malheureusement, au regard de plusieurs effort, la réalité du cinéma au Congo particulièrement à Lubumbashi n’est pas beau à voir. Le cinéma n’a pas encore d’ampleur et par conséquent un acteur lushois n’est pas vu dans toute sa splendeur.

Le couple dans Anakapachia face aux échanges, Rachel & Plamedi

La vie d’un acteur dans sa famille premièrement n’est pas facile, dans la mienne par exemple quand je leur avais annoncé que je fais du cinéma, ils ne l’avaient pas bien reçu. Ils se sont imaginé le pire et Ils pouvaient se représenter des acteurs comme ils les voient sur A+ mais pas moi😂. Pour le public et pour ma famille, le cinéma c’est un passe temps inutile.

Ce que je sais au plus profond de moi ce que le cinéma me passionne, je compte m’y lancer davantage et pourquoi pas en faire carrière. C’est là que Mr Trésor Onema intervient. C’est quelqu’un d’Aimable, gentil et compréhensif, travailler avec lui me motive à faire toujours mieux.

Jusque là je n’ai pas encore eu un mauvais souvenir qui pourrais me forcer à lâcher prise. Mais par contre, la seule chose que je déteste c’est le retard. Quand il s’agit d’arriver peut être à 8h00 et que nous débarquons à 10h ou au delà ça m’agace au plus haut point.

Les bons souvenirs, il y en a plein ; l’ambiance qu’il y a après tournage lorsqu’on se retrouve tous ensemble, on partage la joie, les connaissances, les expériences…

Le cinéma c’est vraiment un monde à part.

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Trésor Onema
Trésor Onema, pour un cinéma à Lubumbashi

En marge de la première de ces films « Kitofu » et « Anakapachia » qui va se tenir le 7 Janvier 2023 dans la salle Arupe à Lubumbashi, Trésor Onema répond aux questions de la rédaction de cinécongo.

Cinécongo est toujours à la recherche des talents pour la RDC et ce dans ce sens que notre rédaction vient de faire la rencontre du jeune et talentieux Trésor Onema, qui va bientot, c’est-à-dire le 7 Janvier 2023, présenter ses deux films « Kitofu » et « Anakapachia » à la salle Arupe dans la ville de Lubumbashi.

Voilà dans les lignes qui suivent, ce qu’a été l’essentiel de notre entretien.

Rédaction : Une brève présentation de vous et de votre parcours cinématographique.

TRÉSOR KASONGO ONEMA. Apprenti scénariste et réalisateur. Je commence mes débuts en cinéma précisément en 2020 lors de la pandémie du covid19. Alors que je n’avais aucune base en réalisation et encore moins en écriture d’un scenario j’ai quand même conçu une série télévisée de 7 épisodes, dénommée ZAINA À WANATANSHI déjà disponible sur notre chaîne YouTube AFRIKA WANTANSHI.

J’ai qualifié cette série d’une rhapsodie🤭. Peu après j’ai rencontré le grand maitre Fils Ngeleka, avec lui je prends mes cours de cinéma tout en pratiquant et ce, jusqu’à ces jours. Je ne me lasse d’apprendre et de consulter les aînés tels que Pascal Musonge, le vieux Douglass etc.

Rédaction : parlez-nous du film Kitofu ?

Kitofu (Nombril) est un film de 28 minutes qui retrace une histoire de 1884. Il raconte les origines des deux peuples restés protagonistes depuis des décennies. Alors que la pénurie s’installe dans leur village, KUMWIMBA, l’ainé s’aventure dans la forêt mystérieuse en quête de nourriture. Seulement cette quête l’emporte des années durant et personnes n’avaient eu de ses nouvelles. Considéré mort pour tout le monde, son frère cadet, comme l’exige la coutume, prend pour en mariage la femme de son aîné. Ils ne pouvaient envisager le retour de ce dernier au bout de 4 ans d’absence. La pilule est amère pour KUMWIMBA. Il refuse de boire la coupe de réédition comme l’exige la coutume et engage un combat sans merci contre son frère cadet.

Rédaction : Parlez-nous du casting du film ?

Je détiens le Label cinématographique le plus stable de la ville depuis 3 ans et regorge une trentaine des jeunes parmi lesquels des filles. Mais j’ai dû choisir une actrice indépendante MELISSA MBANGA qui a joué dans Bad génération avec Victor et pour les hommes le casting n’a pas été difficile puisque les deux frères, Gauthier Boukson (Kumwimba) et Hariss Bahuge (Ilunga) font partie de mes meilleurs acteurs et Jean Luc Mwepu le vieux père aussi. J’ai eu la chance d’avoir des figurant sur place et même un rôle passif du vieux sage.

Rédaction : Qu’aimeriez-vous que les gens retiennent après avoir vu le film ?

l’histoire au départ était de prouver aux Kasaïens et Katangais qu’ils sont tous descendants d’un même ancêtre et qu’ils ne devraient pas se haïr autant. Cependant, dans mes recherches fort malheureusement je n’ai trouvé aucune source historique qui confirme mon hypothèse. J’ai quand même écris le film en m’inventant une réalité historique et c’est le message que je voudrai transmettre à ces deux peuples. Viendra probablement une deuxième partie☺🙏🏾

Rédaction : ) L’entrée est-elle gratuite ou payante ?

L’entrée est payante 10.000 FC le billet. 3 ans maintenant que nous travaillons, j’estime qu’en entendant un sponsoring probable, nous pouvons nous valoriser nous-même en diffusant nos films et faire payer.  Que les jeunes se retrouvent tant soit peu et se sentent encouragés.

Rédaction : Que pensez-vous de la condition de vie d’un cinéaste à Lubumbashi ?

Il n’est pas aisé de faire le cinéma à Lubumbashi. Il y a cette lenteur du public jadis habitué au théâtres 500fc avec un droit d’entrée d’une part et de l’autre part, le manque de confiance en nos réalisations, d’où le périple du cinéaste lushois. Quitte à nous de conjurer ce sort en surprenant le public par nos productions de haute qualité artistique scénaristique et visuelle.

Nous vous laissons avec cette bande annonce de « Kitofu »

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MADUA Faray l’homme de la série « INTERIM » annonce sa sortie officielle

MADUA Faray a bien voulu nous cet honneur de répondre aux questions de la rédaction dans le but de nous présenter la série tant attendue par les Lushois en général et en particulier la communauté estudiantine de l’Université de Lubumbashi dit KASAPA, et aussi nous en dire sur non seulement la sortie officielle de la dite série, mais sur lui-même et sur les contours de cette événement qui interviendra le 26 de ce mois de Février 2022.

Voici dans les lignes qui suivent, la retranscription de l’entretien qu’a bien voulu offrir MADUA Faray à notre rédaction.

Rédaction : Bonjour, une brève présentation de vous ?

Faray : Je me nomme : MADUA Faray, je suis né à Kongolo, diplômé en mécanique automobile. Fils ainée d’une famille des 9 enfants. Actuellement à Lubumbashi. Réalisateur autodidacte

R : Vous êtes dans ce métier depuis combien de temps et comment êtes-vous atterri dedans ?

F : Ça va faire 7ans que je suis dans ce métier. C’est par passion que je le fais. Avant je voulais devenir acteur, mais j’ai vite compris que ça n’allait pas le faire (vu que je suis timide de nature) alors j’ai opté pour l’écriture et la réalisation. J’ai tout appris en ligne (tutoriels youtube et cours en ligne)

R : D’où vous est venu l’inspiration de concevoir cette série « Intérim » ?

F : J’ai arrêté mes études universitaires suite à une mauvaise situation financière venue dans la famille. Et j’avais compris que cela avait affecté d’une certaine manière mon père. L’idée m’est venue de faire cette série en signe de reconnaissance pour leur sacrifice, pour lui dire que je comprends que la tâche d’être parent c’est beaucoup de responsabilité.

Cliquez sur la photo pour voir un extrait de la série.

R : Dites-nous brièvement sur la série « Intérim » : Elle parle de quoi, elle a combien d’épisode ?

F : La série parle de l’énorme travail qu’ont les parents pour élever les enfants malgré que ces derniers n’ont souvent pas conscience. La série a cinq épisodes de dix minutes chacunes

R : Comment avez-vous trouvé vos acteurs? Parlez-nous de vos deux principaux ?

F : Les acteurs sont aussi des passionnés du cinéma comme moi. Le principal (Reagan, le jeune qui joue le fils ) c’est un des mes associés avec qui nous avons eu l’idée de démarrer « Adisi production« . La dame, Maman Solange, c’est une Assistante à la faculté des lettres, elle avait participé à la projection de notre premier film « Égo » et comme elle avait aimé mon travail, c’est comme ça qu’elle a rejoint le staff. Le monsieur qui joue le père (Papa Clovis) je suis avec lui depuis mon premier film.

R : Quel est l’étape suivante après la sortie de la série ?

F : La recherche des partenaires pour la distribution et l’organisation d’autres projection.

R : La sortie officielle de la série Intérim interviendra quand et comment est-ce que l’événement est organisé ?

F : La projection est prévue pour ce 26 Février 2022 à 14h30, dans l’amphithéâtre de la faculté des lettres. L’accès est possible par la l’achat des billets ou par invitation. Il y aura un mot d’accueil, la présentation du projet, la projection… La vente du produit et la séance photo devant l’affiche avec les acteurs.

R : Merci MADUA Faray

F : Merci

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