Cinecongo
Adjani : Un prix venu du Mali se rajoute au palmarès du film congolais

C’est aujourd’hui 28 Février 2022 dans la soirée que l’équipe du film « Adjani » nous informe du prix qui leur a été décerné lors de la 3ème édition du Festival International de cinéma Ag’na au Mali.

« La vérité est très têtue 😍😍😍 Mesdames et messieurs je vous présente le Trophée du Grand Prix ADJANI, Meilleur Film »

C’est ainsi que nous pouvons lire sur la page officiel de l’actrice principale et Productrice du film

Résumé du film selon la productrice : « ce film relate l’histoire d’une jeune femme issue d’une relation interdite, suite au fait que ses parents ne devraient pas s’unir pour des raisons des conflits de leurs villages respectifs. Cette situation, a-t-elle dit, mettra en difficulté la vie de leur fille Adjani qui en paiera les conséquences jusqu’à vivre des situations amoureuses difficiles ».

Il faut noter que le film Adjani est une production de Nancy Adjani sous la réalisation signée par Julio Lolo Bibas avec des acteurs comme Nancy Adjani, elle-même aussi productrice, Ricardo Gloria Mansinsa, Trésor Abedi qui lui ont donné la réplique.

Sortie à Kinshasa depuis le 11 Septembre 2021, le film poursuit son bonhomme de chemin avec pour ambition de titiller les grandes espaces et les grands diffuseurs.

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« Leteta » : Une histoire kinoise relatant un vécu mondial. Par Yohan Dean Lengol

Ce scenario nous plonge dans la vie de trois jeunes musiciens qui veulent réussir dans la vie et pour cela ils sont convaincus que s’ils remportent un concours organisé par le Dr Jeff Ndjadi Leteta tout ira mieux pour eux.

Found Footage est le style utilisé par le réalisateur, ici Yohan Dean Lengol, pour pouvoir parler de ce fait aussi criant que marquant qui réduit toute une jeunesse, de la RDC d’abord, à l’instrumentalisation, tout en montrant aussi ce désir qu’à la jeunesse du monde a pouvoir sortir la tête de l’eau pour s’affirmer et se donner une chance dans la vie.

Malheureusement, décrie Yohan, le film n’a pas été compris.

Ces objectif n’ont pas été atteint ? Toutefois, après l’avoir visionné, nous nous retrouvons dans une ambigüité entre un film qui dégage autant d’énergie et le réalisateur qui, nous le pensons, a également subit les fait décrit dans son propre film, c’est à dire, faire plus, s’investir à fond dans son projet, pour que des gens cupide, loin de tout implication dans la culture, puisse se lever et récupérer les honneurs, spécialiste en découragement et font tout cela au détriment des efforts des autres.

Voilà ce que nous avons vu (Partie sans spoil) :

Une aventure congolaise : des jeunes qui veulent changer leur situation, qui s’organisent, se mettent d’accord pour avancer dans un projet communs, même si la réalité les rattrape, ils se décident de faire mieux et beaucoup mieux.

Selon les politiques, les jeunes doivent être instrumentalisé pour leur dessein et ne doit pas nécessairement devenir autonome.

Il faut que cela cesse ! Il faut que cela change !

Et c’est là que le réalisateur le montre sans le dire et d’une manière assez subtile, il y va à l’interpellation de la femme à tendre vers son indépendance au lieu de vouloir se résoudre à offrir son corps contre service.

Attention (partie avec spoil) :

Nous y avons vu une femme réalisatrice, une manager, une autre musicienne, etc. et chacune d’elles réagissant différemment et montrant un comportement différent face à la même réalité qui les touche. Nous avons vu un groupe des jeunes qui s’unissent, rentrent dans un studio, trouvent les compétences qui leur manquent pour le besoin de faire mieux, bien qu’au final, l’un des protagonistes finit par tromper tout le groupe et sauter sur le gain en laissant les autres dans le désarroi total.

Au final, nous avons aimé le film, son style, son message et nous le recommandons et nous sommes même prêt à soutenir sa diffusion et sa distribution. Car nous le souhaitons, voir ce film être vu par tous et porter à haute voix le discours du réalisateur. Le clin d’œil et différent « MABANGA » propre à la culture, surtout à la musique congolaise, a été notre coup de cœur!

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Festival des à côtés édition 2022

APPEL À FILMS

Bonjour à toutes et à tous,
2022 est l’année anniversaire du festival puisque nous fêterons notre dixième édition. 10 ans c’est plus que l’âge de raison ! L’édition 2022 du festival aura lieu du 21 au 23 octobre.

Nous attendons avec impatience vos films, tous formats et toutes durées, du film d’animation au documentaire en passant par la fiction, long moyen et court, et comme d’habitude depuis 10 ans aucune obligation que le film soit de l’année précédente, les films oubliés, jamais diffusés, sont aussi les bienvenus !
A bientôt le plaisir de vous découvrir !

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MADUA Faray l’homme de la série « INTERIM » annonce sa sortie officielle

MADUA Faray a bien voulu nous cet honneur de répondre aux questions de la rédaction dans le but de nous présenter la série tant attendue par les Lushois en général et en particulier la communauté estudiantine de l’Université de Lubumbashi dit KASAPA, et aussi nous en dire sur non seulement la sortie officielle de la dite série, mais sur lui-même et sur les contours de cette événement qui interviendra le 26 de ce mois de Février 2022.

Voici dans les lignes qui suivent, la retranscription de l’entretien qu’a bien voulu offrir MADUA Faray à notre rédaction.

Rédaction : Bonjour, une brève présentation de vous ?

Faray : Je me nomme : MADUA Faray, je suis né à Kongolo, diplômé en mécanique automobile. Fils ainée d’une famille des 9 enfants. Actuellement à Lubumbashi. Réalisateur autodidacte

R : Vous êtes dans ce métier depuis combien de temps et comment êtes-vous atterri dedans ?

F : Ça va faire 7ans que je suis dans ce métier. C’est par passion que je le fais. Avant je voulais devenir acteur, mais j’ai vite compris que ça n’allait pas le faire (vu que je suis timide de nature) alors j’ai opté pour l’écriture et la réalisation. J’ai tout appris en ligne (tutoriels youtube et cours en ligne)

R : D’où vous est venu l’inspiration de concevoir cette série « Intérim » ?

F : J’ai arrêté mes études universitaires suite à une mauvaise situation financière venue dans la famille. Et j’avais compris que cela avait affecté d’une certaine manière mon père. L’idée m’est venue de faire cette série en signe de reconnaissance pour leur sacrifice, pour lui dire que je comprends que la tâche d’être parent c’est beaucoup de responsabilité.

Cliquez sur la photo pour voir un extrait de la série.

R : Dites-nous brièvement sur la série « Intérim » : Elle parle de quoi, elle a combien d’épisode ?

F : La série parle de l’énorme travail qu’ont les parents pour élever les enfants malgré que ces derniers n’ont souvent pas conscience. La série a cinq épisodes de dix minutes chacunes

R : Comment avez-vous trouvé vos acteurs? Parlez-nous de vos deux principaux ?

F : Les acteurs sont aussi des passionnés du cinéma comme moi. Le principal (Reagan, le jeune qui joue le fils ) c’est un des mes associés avec qui nous avons eu l’idée de démarrer « Adisi production« . La dame, Maman Solange, c’est une Assistante à la faculté des lettres, elle avait participé à la projection de notre premier film « Égo » et comme elle avait aimé mon travail, c’est comme ça qu’elle a rejoint le staff. Le monsieur qui joue le père (Papa Clovis) je suis avec lui depuis mon premier film.

R : Quel est l’étape suivante après la sortie de la série ?

F : La recherche des partenaires pour la distribution et l’organisation d’autres projection.

R : La sortie officielle de la série Intérim interviendra quand et comment est-ce que l’événement est organisé ?

F : La projection est prévue pour ce 26 Février 2022 à 14h30, dans l’amphithéâtre de la faculté des lettres. L’accès est possible par la l’achat des billets ou par invitation. Il y aura un mot d’accueil, la présentation du projet, la projection… La vente du produit et la séance photo devant l’affiche avec les acteurs.

R : Merci MADUA Faray

F : Merci

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Présentation officielle du programme de l’Union de Cinéaste du Nord-Kivu « UCNK » pour L’année 2022

Il s’est tenu à Goma ce samedi une conférence avec les réalisateurs indépendant et ceux qui sont des responsables de différents organisations des cinéma du Nord-Kivu dans la grande salle de l’espace culturel de Goma qui consistait à la présentation officielle du programme de l’Union de Cinéaste du Nord-Kivu « UCNK » en sigle pour cette année cette année 2022

Célestin Ngumbi chroniqueur de l’émission « Goma cinéma à la Hope channel tv de Goma » a répondu aux questions de notre rédaction dans le but de nous faire le point sur ce qu’a été la réunion des cinéastes de Goma qui s’est tenue le vendredi 12 Février 2022 dans la grande salle de l’espace culturel de Goma. Il sied ici de signaler avec la retranscription de l’interview de Célestin Ngumbi accordée à notre rédaction, que Goma cinéma est une émission culturelle qui a pour objectif la promotion des films locaux.

Rédaction : Pourrais-je avoir une brève présentation de vous?

Célestin : Je suis Célestin Ngumbi chroniqueur de l’émission Goma cinéma à la Hope channel tv de Goma. Goma cinéma est une émission culturelle qui a pour objectif la promotion des films locaux.

R : C’est quoi UNCK et c’est quoi son but ?

C : UCNK c’est l’Union des cinéastes du Nord-Kivu et l’objectif c’est de promouvoir le cinéma de Goma

R : Qui sont dans le comité ?

C : Leur coordonnateur c’est ISSA DJUMA

R : Depuis sa création, quel bilan ?

C : Je ne saurai pas répondre à cette question vu que je ne fais pas partie dans leur comité

R : L’association est-elle représentative ? Les cinéastes vous suivent ?

C : Oui oui elle a une représentativité dans d’autres entité de la province du Nord-Kivu. Si les cinéastes n’étaient pas intéressé par l’association elle n’aurait pas sa raison d’existence jusque aujourd’hui.

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J.J Akwane et le défi de vendre positivement l’image du Congo grâce à la série « JAMAA »

C’est avec une immense joie que Mr J.J a été accueilli à notre rédaction, lui qui se caractérise par son silence parsemé d’un savoir faire à la hauteur du grand Congo, a aujourd’hui décidé de parler. Lors d’un bref échange, J.J, pour les intimes, s’est dit satisfait de la tournure que prennent les choses pour la promotion de son « JAMAA », une série dont il est fière de porter et de montrer les couleurs. Dans les lignes qui suivent, vous pourrez vous-même vous rendre compte de ce qu’à porter l’entretien de J.J avec notre rédaction.

R : Brève présentation de toi ?

J.J : J.J. Akwane, réalisateur, écrivain, producteur de cinéma. Et aussi publiciste

R : Parlez-nous de la série Jamaa et de l’intérêt que tu lui portes ?

J.J : Jamaa est l’histoire d’une riche famille, des enfants livrés à une vie de libertinages, des guerres d’égos sans précédents entre frères et sœurs et qui prend des formes schématiques émotionnelles inimaginables… L’intérêt premier a toujours été de divertir le public avant tout, puis de faire du Novelas Congolais, c’est à dire vendre positivement l’image de notre beau pays à la face du monde en commençant par les congolais eux-mêmes.

R : Jamaa a traversé plusieurs années pour être clôturée, c’est dans un soucis de perfection où il y a une autre raison?

J.J : Le souci de perfection a toujours été au cœur de ce projet Jamaa, depuis sa genèse. Et puis d’autres soucis fut ceux des ressources financières, logistiques et humaines…

R : Jamais parle de beaucoup de chose, d’amour, de business, de trahison, mais dans un autre registre, cinéma nous vous retrouvons dans un autre film « Table 23 » qui peint à nouveau la trahison… Coïncidence ?

J.J : Pire coïncidence…😊

R : Souvent nous retrouvons ou presque les mêmes visages dans vos films et séries, c’est genre on ne change pas l’équipe qui gagne?

J.J : En partie oui. Mais vous savez avec un budget aussi serré qu’on a dans le cinéma congolais, on ne peut se permettre de changer le casting à 80%, parce que déjà nous n’avons pas un large casting de talents et de 2, travailler avec des personnes qui maîtrisent déjà les contraintes de la production congolaise est plus pratique qu’avoir de nouvelles personnes qui devront encore s’adapter à cette réalité déjà complexe…

R : Que pensez-vous que la RDC pourrait apporter comme contribution au cinéma mondial, le fait-il déjà ?

J.J : Le cinéma est avant tout un Art. Un art de divertissement (business). Et le cinéma est aussi un outil politique et culturel. Etant artiste nous réalisons des œuvres qui vont divertir le public et vendre notre culture localement et au monde entier. Comme outil politique, quand nous aurons suffisamment des moyens nous tournerons aussi cet art de Divertissement vers un Art plus politique pour changer le Congo et contribuer au changement du monde.

Je ne saurais dire que le cinéma congolais contribue déjà au cinéma mondial car son industrie tarde encore lourdement les pas.

R : Un mot pour notre rédaction…

J.J : Je suis fier d’avoir pu échanger ces quelques mots. Connaissant cette rédaction et sa belle réputation depuis des années, je suis surpris agréablement de passer chez elle pour atteindre un public que je penses large de part l’audience de votre rédaction. Mes salutations artistiques à toute l’équipe…

R : Merci !

J.J : C’est moi qui vous en remercie…

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Machérie Ekwa donne ses impressions après l’annonce des résultats du concours Netflix

Pour rappel, Machérie Ekwa avait participé au concours lancé par Netflix et Unesco et c’est ce 1er Février 2022 que sont tombés les résultats et elle est comptée parmi les 21 lauréats qui participeront à un atelier et de l’atelier, comme dit sur le site internet du concours, il n’en restera que 6 qui continueront l’aventure de la production avec le géant mondial du streaming.

Approchée par notre rédaction, voilà ce qu’à été le résumé de l’entretien.

Rédaction : Une brève présentation de toi

Ekwa : Passionnée du cinéma. Réalisatrice et productrice Congolaise.

R : Qu’est-ce que ça t’a fait d’apprendre la nouvelle d’être parmi les 21 projets sélectionnés par Netflix ?

E : J’en suis très honorée. Faire partie de cette short liste est pour moi une énorme reconnaissance de mon travail et de moi en ma qualité de cinéaste. Ça me donne de la force et les raisons de continuer.

R : Peux-tu juste nous mettre l’eau à la bouche de ce que sera ton futur film?

E : Sourire

R : Nous avons vu une histoire avec deux filles dans Makil’a, était-ce la promotion de la femme dans le cinéma ? Le prochain projet ira-t-il sur la même logique ?

E : Forcément la femme est au cœur de mon inspiration !!! Mais toutefois, les choix des personnages femmes dans mes films, je n’y pense pas forcément, ça me vient tout naturellement car mon inspiration part de la femme… Et ça dépend de l’histoire qui me vient! Mais y a toujours une place particulière pour le combat de la femme, sans faire exprès. Le fait que je sois femme, sans réfléchir c’est normal que je prône le développement, l’élévation, la liberté, l’amour, la force, le courage, la puissance ou encore la vulnérabilité de la Femme, surtout quand je vois la femme de la société dans la quelle je vis. Je ne peux pas rester indifférente, y à toujours à dire.

R : pouvez-vous commenter l’actualité sur les 26 morts de Matadi Kibala et sur la cinquantaine à l’Ituri?

E : Je manque les mots. J’en ai été très dévastée… j’étais en repérages, quand j’ai appris, je me suis retirée pendant un moment, je n’étais plus bien, j’étais effondrée. D’ailleurs ne sachant pas, quelqu’un m’a reproché après, de ne pas rester à l’écart et d’être concentrée… Bref, j’ai réfléchis à tout, mais j’avais pas des réponses à mes questions jusqu’à aujourd’hui. C’est inexplicablement décevant et atroce ce qui se passe au Congo. Dieu seul sait. Plaise à Dieu de nous donner le sens de responsabilité car nous avons un grand travail à faire dans notre pays et pour notre pays.

R : Qu’est-ce que selon vous, le Congo pourrait apporter au cinéma du monde. Et le fait-il déjà ?

E : Les moyens, autrement dit de l’argent pour faire des films! Car l’avenir du cinéma se porte très bien, nous avons tous les talents possibles, mais les moyens font défaut. Faut pas que les efforts de tous ceux qui font exister le cinéma au Congo s’éteignent un jour, ou s’arrêtent tout simplement parce qu’ils seront épuisés de donner tout ce qu’ils avaient d’eux-mêmes… à un moment donné, il faut donner de la force de continuer.

R : Merci

E : C’est moi qui vous remercie!

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Comment rédiger une lettre de motivation pour vous démarquer ?

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Le film « Aïsha », bientôt la sortie en salle.

Synopsis :

Aicha, une jeune fille de 22ans, la fille unique de sa mère et orpheline de père, aicha possède un pouvoir spirituel et démoniaque qu’elle à hérité de son père, elle était en couple avec un homme de 45ans monsieur mulumba, veuf et père d’un garçon de 25ans qui vis en Europe, par mégarde il tue aicha pendant qu’il lui forcé de se faire avorter, après sa mort son esprit apparait jour et nuit à monsieur mulumba et au couple de son fils pour venger sa mort…

Du réalisateur Ismak Manga
Et en sortie le 19 Mars 2022 dans la salle Agora dans l’enceinte du centre culturel Belcampus

C’est un rendez-vous à ne pas manquer car le droit d’accès n’équivaut qu’à 5$>

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Festival international du cinéma et de l’audiovisuel du Burundi

Depuis 2009 se tient chaque année le FESTICAB, une manifestation cinématographique qui accueille des films burundais et internationaux. Ces œuvres concourent dans différentes catégories (Nationale, Internationale, et Est-Africaine) durant une semaine. Au cours de cette période, plusieurs activités sont organisées : des projections, une conférence, des formations destinées aux réalisateurs émergents dans le 7ème art sous l’encadrement des cinéastes locaux et/ou internationaux ainsi que la marraine de cette édition.
Cette année, le FESTICAB se tiendra en date du 27 mai au 03 juin 2022, et nous invitons les cinéastes à soumettre leurs œuvres dans la compétition de la 13è édition du FESTICAB jusqu’au 05 Avril 2022.
Pour soumettre vos films dans la compétition, nous vous invitons à télécharger la fiche d’inscription en passant sur ce lien https://festicab.bi/fiche-dinscription-festicab-2022/
Mais avant de soumettre vos films nous vous prions de bien lire le règlement de la 13è édition du FESTICAB déjà disponible sur le site web du FESTICAB en passant sur ce lien https://festicab.bi/appel-a-film-edition-2022

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