Crash de Type K
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Ce jour-là, le 8 Janvier 1996, le crash de type K a été un accident de plus meurtrier qu’a connu la RDC en deux générations. Le bilan direct parlait de 237 mort.

Le cinéma étant un métier noble, mais surtout, un métier où l’on donne de ces nouvelles au monde, la RDC avec toutes ses histoires autant merveilleuses que tragiques ne se raconte pas.

Les cinéastes congolais laisse le soin au média étranger de parler de leur pays et de donner leur point de vue sur les situations que travers le Congo.

A quand les vrais documentaires du Congo avec des points de vue congolais ?

Quand est-ce que les cinéastes vont-ils prendre en main les rênes de la narration de l’imaginaire congolais ?

Ces interrogations peuvent trouver leurs réponses rapidement mais en attendant, la rédaction languit de découvrir tout cela dans un bref délais.

Une poussée de révolution, c’est ce dont ont besoin les cinéastes congolais. Un peu d’audace et une pensée pour le lendemain.

A titre d’exemple, tous les contemporains ou presque qui ont vécu l’indépendance sont en train de s’éteindre. Pratiquement aucun cinéaste, peut-être quelques journalistes de télévision à la recherche d’un scoop, n’a pu décrocher des interviews pour nous narrer une histoire à la gloire du peuple beau et fort.

Débout congolais,

Unis par le sort, unis par l’effort pour l’indépendance…

L’indépendance des cinéastes est peut-être pour bientôt. La rédaction de cinécongo relatera toutes les sursaut d’orgueil qu’il pourra avoir dans son collimateur.

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